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- Le CCLF à Colonna: Le Liban doit rester neutre
Le Comité de coordination libano-français (CCLF) a appelé, mardi, la ministre française des Affaires étrangères, Catherine Colonna, à «faire pression sur l’Iran, pour que le Hezbollah ne s’engage pas dans la guerre en cours entre Israël et le Hamas, afin de préserver le Liban de ses risques dévastateurs».
Dans un communiqué publié à Paris et à Beyrouth, le comité a ajouté que «toute détérioration de la situation le long de la frontière libano-israélienne pourrait aggraver la situation dans la région, mettre en danger les soldats de la Finul et générer des troubles régionaux». «Éviter une escalade est dans l’intérêt commun franco-libanais», a poursuivi le CCLF.
Le comité avait déjà pris contact avec Mme Colonna, Damien Abad, membre de l’Assemblée nationale et président du groupe d’amitié France-Liban et Christine Lavarde, membre du Sénat et présidente de son groupe d’amitié France-Liban. «Nous considérons que le Liban est un pays souverain avec des frontières reconnues par la communauté internationale», selon le communiqué qui poursuit: «Nous souhaitons mener des initiatives qui nous aident à mettre en œuvre les résolutions du Conseil de sécurité des Nations unies, en particulier les résolutions 1701, 1680 et 1559 et à nous libérer de l’axe syro-iranien.»
Et de conclure que la sauvegarde du Liban nécessite un soutien commun de la part de la France, du monde arabe et de la communauté internationale. «Le soutien doit être accompagné d’une feuille de route réaliste», selon le même texte.
On rappelle que le CCLF regroupe sept associations françaises fondées par des Libanais, ainsi que le Civic Influence Hub (CIH) en tant qu’organisation consultative libanaise auprès du comité. Leur objectif est de mettre en place un lobby libanais souverainiste afin de plaider la cause d’un Liban souverain, libre, pluraliste, fondé sur la citoyenneté et attaché aux pratiques démocratiques.
Dans un communiqué publié à Paris et à Beyrouth, le comité a ajouté que «toute détérioration de la situation le long de la frontière libano-israélienne pourrait aggraver la situation dans la région, mettre en danger les soldats de la Finul et générer des troubles régionaux». «Éviter une escalade est dans l’intérêt commun franco-libanais», a poursuivi le CCLF.
Le comité avait déjà pris contact avec Mme Colonna, Damien Abad, membre de l’Assemblée nationale et président du groupe d’amitié France-Liban et Christine Lavarde, membre du Sénat et présidente de son groupe d’amitié France-Liban. «Nous considérons que le Liban est un pays souverain avec des frontières reconnues par la communauté internationale», selon le communiqué qui poursuit: «Nous souhaitons mener des initiatives qui nous aident à mettre en œuvre les résolutions du Conseil de sécurité des Nations unies, en particulier les résolutions 1701, 1680 et 1559 et à nous libérer de l’axe syro-iranien.»
Et de conclure que la sauvegarde du Liban nécessite un soutien commun de la part de la France, du monde arabe et de la communauté internationale. «Le soutien doit être accompagné d’une feuille de route réaliste», selon le même texte.
On rappelle que le CCLF regroupe sept associations françaises fondées par des Libanais, ainsi que le Civic Influence Hub (CIH) en tant qu’organisation consultative libanaise auprès du comité. Leur objectif est de mettre en place un lobby libanais souverainiste afin de plaider la cause d’un Liban souverain, libre, pluraliste, fondé sur la citoyenneté et attaché aux pratiques démocratiques.
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