Le député Razi Hajj déclare que «le Liban est incapable, sur les plans social, psychologique, économique et logistique, de mener une guerre, quelle qu’elle soit. Il n’a pas non plus l’intention de le faire».
Dans un entretien accordé au quotidien Nidaa al-Watan, M. Hajj précise: «Toutes les institutions publiques sont dans un état de paralysie quasi totale; celles de la défense civile aussi. Elles fonctionnent à moins de 10% de leurs capacités, sans compter que la majorité de leurs équipements sont dysfonctionnels.» Il a, dans ce sens, donné l’exemple de l’effondrement d’un immeuble dans la région de Mansourié, où «il a fallu une semaine de recherche pour déterminer le sort des victimes de ce drame, qui sont au nombre de 9».
Plus encore, le pays souffre, d’après lui, «d’une crise économique qui ne lui permet pas de supporter le poids de nouveaux fardeaux, d’autant plus que les annulations des réservations au Liban (en raison de la situation sécuritaire dangereuse, ndlr), ne permettront pas la reprise tant attendue par les secteurs économique et touristique, notamment durant les fêtes de Noël et du nouvel an».
M. Hajj a, par ailleurs, indiqué que «de nombreuses entreprises seront contraintes de fermer leurs portes au Liban». Un quatrième élément qui fait que le Liban ne peut s’engager dans une guerre, d’après le député des Forces libanaises, est la situation catastrophique des infrastructures dans le pays».
Dans un entretien accordé au quotidien Nidaa al-Watan, M. Hajj précise: «Toutes les institutions publiques sont dans un état de paralysie quasi totale; celles de la défense civile aussi. Elles fonctionnent à moins de 10% de leurs capacités, sans compter que la majorité de leurs équipements sont dysfonctionnels.» Il a, dans ce sens, donné l’exemple de l’effondrement d’un immeuble dans la région de Mansourié, où «il a fallu une semaine de recherche pour déterminer le sort des victimes de ce drame, qui sont au nombre de 9».
Plus encore, le pays souffre, d’après lui, «d’une crise économique qui ne lui permet pas de supporter le poids de nouveaux fardeaux, d’autant plus que les annulations des réservations au Liban (en raison de la situation sécuritaire dangereuse, ndlr), ne permettront pas la reprise tant attendue par les secteurs économique et touristique, notamment durant les fêtes de Noël et du nouvel an».
M. Hajj a, par ailleurs, indiqué que «de nombreuses entreprises seront contraintes de fermer leurs portes au Liban». Un quatrième élément qui fait que le Liban ne peut s’engager dans une guerre, d’après le député des Forces libanaises, est la situation catastrophique des infrastructures dans le pays».
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