L’académie Goncourt a annoncé, depuis Cracovie en Pologne, les quatre finalistes du prestigieux prix Goncourt. Les écrivains retenus pour cette ultime étape sont Jean-Baptiste Andrea, Gaspard Koenig, Éric Reinhardt et Neige Sinno.
Jean-Baptiste Andrea, dans Veiller sur elle (éditions L’Iconolaste), nous transporte dans l’Italie fasciste, racontant une romance intense entre une patricienne et un plébéien passionnés d’art. Fort d’une expérience cinématographique, Andrea offre à ses lecteurs une œuvre riche et évocatrice.
De son côté, Gaspard Koenig, dans Humus (L’Observatoire), brosse le portrait d’étudiants en agronomie préoccupés par l’avenir incertain de notre planète. Bien qu’il soit principalement reconnu comme philosophe, Koenig a su marquer de son empreinte la sphère littéraire avec cette œuvre audacieuse et réflexive.
Éric Reinhardt, auteur chevronné, propose avec Sarah, Susanne et l’écrivain (Gallimard) une analyse poignante de la déroute d’une femme face à l’absence de son mari. Avec un parcours ponctué de succès, y compris au cinéma, Reinhardt aspire à obtenir une reconnaissance supérieure pour cette narration unique.
Neige Sinno, dans Triste tigre (POL), livre un témoignage bouleversant sur les abus subis pendant son enfance. L’écrivaine ne jouissait pas d’une grande notoriété auparavant, mais elle se distingue par la force de son récit.
Le verdict final sera rendu le 7 novembre, comme le veut la tradition, au restaurant Drouant, à Paris. Les paris sont ouverts et chaque auteur a ses fervents défenseurs prêts à plaider sa cause.
À noter que l’académie Goncourt a, pour la deuxième année consécutive, choisi une ville étrangère pour l’annonce, une initiative ayant généré moins de polémiques que l’année précédente à Beyrouth.
Alors que la course pour le Goncourt est lancée, les observateurs scrutent les autres distinctions. Les prix tels que le Décembre et le Femina, dont les lauréats seront annoncés respectivement les 31 octobre et 6 novembre, pourraient donner des indices quant au futur gagnant du Goncourt.
Didier Decoin, président du jury du Goncourt, a rappelé l’importance d’une diversité des lauréats pour les différents prix, soulignant ainsi le rôle crucial des libraires dans la promotion de la littérature française.
Avec AFP
Jean-Baptiste Andrea, dans Veiller sur elle (éditions L’Iconolaste), nous transporte dans l’Italie fasciste, racontant une romance intense entre une patricienne et un plébéien passionnés d’art. Fort d’une expérience cinématographique, Andrea offre à ses lecteurs une œuvre riche et évocatrice.
De son côté, Gaspard Koenig, dans Humus (L’Observatoire), brosse le portrait d’étudiants en agronomie préoccupés par l’avenir incertain de notre planète. Bien qu’il soit principalement reconnu comme philosophe, Koenig a su marquer de son empreinte la sphère littéraire avec cette œuvre audacieuse et réflexive.
Éric Reinhardt, auteur chevronné, propose avec Sarah, Susanne et l’écrivain (Gallimard) une analyse poignante de la déroute d’une femme face à l’absence de son mari. Avec un parcours ponctué de succès, y compris au cinéma, Reinhardt aspire à obtenir une reconnaissance supérieure pour cette narration unique.
Neige Sinno, dans Triste tigre (POL), livre un témoignage bouleversant sur les abus subis pendant son enfance. L’écrivaine ne jouissait pas d’une grande notoriété auparavant, mais elle se distingue par la force de son récit.
Le verdict final sera rendu le 7 novembre, comme le veut la tradition, au restaurant Drouant, à Paris. Les paris sont ouverts et chaque auteur a ses fervents défenseurs prêts à plaider sa cause.
À noter que l’académie Goncourt a, pour la deuxième année consécutive, choisi une ville étrangère pour l’annonce, une initiative ayant généré moins de polémiques que l’année précédente à Beyrouth.
Alors que la course pour le Goncourt est lancée, les observateurs scrutent les autres distinctions. Les prix tels que le Décembre et le Femina, dont les lauréats seront annoncés respectivement les 31 octobre et 6 novembre, pourraient donner des indices quant au futur gagnant du Goncourt.
Didier Decoin, président du jury du Goncourt, a rappelé l’importance d’une diversité des lauréats pour les différents prix, soulignant ainsi le rôle crucial des libraires dans la promotion de la littérature française.
Avec AFP
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