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- Mikati: Le gouvernement a élaboré un plan d’urgence pour trois mois
Le Premier ministre sortant, Najib Mikati, a affirmé dimanche que «le gouvernement a élaboré un plan d’urgence pour les trois prochains mois en cas de guerre au Liban».
«Nous ne voulons pas la guerre et nous ne tenterons aucune action pour la déclencher», a-t-il affirmé dans un entretien accordé à la chaîne panarabe Al-Jazeera. Il a, à cet égard, réitéré l’attachement du Liban à «la légalité internationale et aux résolutions du Conseil de sécurité des Nations unies».
M. Mikati a exprimé, en outre, le souhait que «les négociations puissent conduire à un cessez-le-feu de la part d’Israël au Liban-Sud». «Ce qui m’importe, c’est que le Liban reste à l’abri de la guerre, a-t-il insisté. Nous cherchons la stabilité.»
Interrogé sur le sommet arabo-islamique de Riayd, tenu samedi, pour souligner l’importance de mettre fin à la guerre à Gaza, M. Mikati a estimé que les résultats sont «meilleurs» que ce à quoi il s’attendait. Il a, dans ce contexte, appelé les pays arabes, «notamment ceux qui entretiennent des relations avec Israël, à faire pression pour mettre fin aux provocations au Liban-Sud».
Lire aussi: https://icibeyrouth.com/guerre-israel-hamas/285209
«Nous ne voulons pas la guerre et nous ne tenterons aucune action pour la déclencher», a-t-il affirmé dans un entretien accordé à la chaîne panarabe Al-Jazeera. Il a, à cet égard, réitéré l’attachement du Liban à «la légalité internationale et aux résolutions du Conseil de sécurité des Nations unies».
M. Mikati a exprimé, en outre, le souhait que «les négociations puissent conduire à un cessez-le-feu de la part d’Israël au Liban-Sud». «Ce qui m’importe, c’est que le Liban reste à l’abri de la guerre, a-t-il insisté. Nous cherchons la stabilité.»
Interrogé sur le sommet arabo-islamique de Riayd, tenu samedi, pour souligner l’importance de mettre fin à la guerre à Gaza, M. Mikati a estimé que les résultats sont «meilleurs» que ce à quoi il s’attendait. Il a, dans ce contexte, appelé les pays arabes, «notamment ceux qui entretiennent des relations avec Israël, à faire pression pour mettre fin aux provocations au Liban-Sud».
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