Journaliste à la chaîne panarabe, Al-Arabiya, Layal Alekhtiar a annoncé jeudi soir sur son compte X, qu’un mandat de recherche et d’amener a été émis à son encontre par le Parquet du tribunal militaire au Liban.
«Je viens d’être notifiée qu’un mandat d’amener a été émis à mon encontre par le tribunal militaire, sur base d’une note d’information, présentée contre moi par des partisans du Hezbollah, sous diverses appellations», a-t-elle écrit sur X.
«Cette mesure relève de la persécution politique pure par le biais d’une oppression judiciaire. Elle n’a rien à voir avec le droit, la vérité et la justice», a-t-elle dénoncé.
Layal Alekhtiar et d’autres journalistes, notamment Dima Sadek (MTV), Nadim Kteich, (Sky News), Tony Boulos (Jousour) et Rami Naïm (alsiyasa) ont été récemment la cible d’une farouche campagne diffamatoire sur les réseaux sociaux, menée contre eux par l’armée électronique du Hezbollah, à cause de leurs positions hostiles à la formation pro-iranienne. Le plus révoltant est qu'un tribunal donne suite à cette campagne politique.
Layal Alekhtiar avait notamment été attaquée parce qu’elle avait interviewé un officier israélien sur Al-Arabiya.
«Les instigateurs de cette mesure se couvrent d’infamie, morale, nationale et humaine. Ce sont eux qui ont pillé l’État, dilapidé l’argent du peuple et renoncé à la souveraineté et aux richesses du pays et qui, aujourd’hui, détournent l’attention de leurs pratiques, en réprimant les libertés, sous de fausses allégations», a écrit la journaliste, qui a affirmé ne rien craindre. «Je resterai libanaise et arabe jusqu’au dernier soupir et vous ne pourrez jamais toucher à ma liberté, ma dignité et à mes convictions», a lancé Layal Alekhtiar à se's détracteurs.
Elle a ajouté un seul hashtag à son post: Hezbollah
«Je viens d’être notifiée qu’un mandat d’amener a été émis à mon encontre par le tribunal militaire, sur base d’une note d’information, présentée contre moi par des partisans du Hezbollah, sous diverses appellations», a-t-elle écrit sur X.
«Cette mesure relève de la persécution politique pure par le biais d’une oppression judiciaire. Elle n’a rien à voir avec le droit, la vérité et la justice», a-t-elle dénoncé.
Layal Alekhtiar et d’autres journalistes, notamment Dima Sadek (MTV), Nadim Kteich, (Sky News), Tony Boulos (Jousour) et Rami Naïm (alsiyasa) ont été récemment la cible d’une farouche campagne diffamatoire sur les réseaux sociaux, menée contre eux par l’armée électronique du Hezbollah, à cause de leurs positions hostiles à la formation pro-iranienne. Le plus révoltant est qu'un tribunal donne suite à cette campagne politique.
Layal Alekhtiar avait notamment été attaquée parce qu’elle avait interviewé un officier israélien sur Al-Arabiya.
«Les instigateurs de cette mesure se couvrent d’infamie, morale, nationale et humaine. Ce sont eux qui ont pillé l’État, dilapidé l’argent du peuple et renoncé à la souveraineté et aux richesses du pays et qui, aujourd’hui, détournent l’attention de leurs pratiques, en réprimant les libertés, sous de fausses allégations», a écrit la journaliste, qui a affirmé ne rien craindre. «Je resterai libanaise et arabe jusqu’au dernier soupir et vous ne pourrez jamais toucher à ma liberté, ma dignité et à mes convictions», a lancé Layal Alekhtiar à se's détracteurs.
Elle a ajouté un seul hashtag à son post: Hezbollah
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