Le septuple champion olympique américain Caeleb Dressel a réussi un 50 m nage libre encourageant à l'US Open de natation jeudi à Greensboro (Etats-Unis), où la Canadienne Summer McIntosh a battu la légende Katie Ledecky sur 400 m nage libre.
Dressel (27 ans), 7 fois champion olympique et 14 fois champion du monde, tente de retrouver le plus haut niveau après plus de deux années chaotiques depuis ses exploits aux Jeux olympiques de Tokyo (5 titres). Entre des coupures de plusieurs mois hors des bassins, il s'était retiré des Championnats du monde de Budapest en 2022 avant d'échouer à se qualifier pour ceux de Fukuoka cet été.
A l'US Open, meeting de haut niveau placé en début de préparation pour les Jeux olympiques de Paris-2024, Dressel n'a pu se qualifier que pour la finale B du 50 m nage libre (22.35 en séries), qu'il a dominé dans l'après-midi en 21 sec 99, 4e chrono total de tous les engagés. Un temps loin de son record (21.04) mais encourageant, plus connu depuis avril 2022.
Michael Andrew a dominé la finale A en 21 sec 80.
Dressel est également engagé sur 100 m papillon et 100 m nage libre vendredi et samedi.
La sensation du jour est venue de la quadruple championne du monde canadienne Summer McIntosh, qui s'est payée de scalp de la légende américaine des bassins Katie Ledecky sur 400 m nage libre (3:59.42 contre 4:02.38).
Ledecky n'avait plus été battue dans cette discipline aux Etats-Unis depuis onze ans.
L'Américaine de 26 ans aux 7 titres olympiques et 21 titres mondiaux avait décroché l'argent du 400 m nage libre aux Championnats du monde de Fukuoka derrière l'Australienne Ariarne Titmus, qui s'était alors emparée du record du monde détenu par McIntosh, décevante 4e au Japon.
"J'ai beaucoup appris de cette course", a indiqué jeudi la Canadienne âgée de 17 ans, tout de même titrée sur 200 m papillon et 400 m 4 nages à Fukuoka.
La championne du monde du 200 m 4 nages, l'Américaine Kate Douglass, a elle impressionné avec un doublé 200 m 4 nages (2:08.46) et 50 m nage libre (24.38).
La nouvelle star de la natation, le Français Léon Marchand, qui s'entraîne à Phoenix (Arizona), a décidé au dernier moment de ne pas prendre part à la compétition pour privilégier l'entraînement suite à une maladie.
© Agence France-Presse
Dressel (27 ans), 7 fois champion olympique et 14 fois champion du monde, tente de retrouver le plus haut niveau après plus de deux années chaotiques depuis ses exploits aux Jeux olympiques de Tokyo (5 titres). Entre des coupures de plusieurs mois hors des bassins, il s'était retiré des Championnats du monde de Budapest en 2022 avant d'échouer à se qualifier pour ceux de Fukuoka cet été.
A l'US Open, meeting de haut niveau placé en début de préparation pour les Jeux olympiques de Paris-2024, Dressel n'a pu se qualifier que pour la finale B du 50 m nage libre (22.35 en séries), qu'il a dominé dans l'après-midi en 21 sec 99, 4e chrono total de tous les engagés. Un temps loin de son record (21.04) mais encourageant, plus connu depuis avril 2022.
Michael Andrew a dominé la finale A en 21 sec 80.
Dressel est également engagé sur 100 m papillon et 100 m nage libre vendredi et samedi.
La sensation du jour est venue de la quadruple championne du monde canadienne Summer McIntosh, qui s'est payée de scalp de la légende américaine des bassins Katie Ledecky sur 400 m nage libre (3:59.42 contre 4:02.38).
Ledecky n'avait plus été battue dans cette discipline aux Etats-Unis depuis onze ans.
L'Américaine de 26 ans aux 7 titres olympiques et 21 titres mondiaux avait décroché l'argent du 400 m nage libre aux Championnats du monde de Fukuoka derrière l'Australienne Ariarne Titmus, qui s'était alors emparée du record du monde détenu par McIntosh, décevante 4e au Japon.
"J'ai beaucoup appris de cette course", a indiqué jeudi la Canadienne âgée de 17 ans, tout de même titrée sur 200 m papillon et 400 m 4 nages à Fukuoka.
La championne du monde du 200 m 4 nages, l'Américaine Kate Douglass, a elle impressionné avec un doublé 200 m 4 nages (2:08.46) et 50 m nage libre (24.38).
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