Le Premier ministre sortant, Najib Mikati, a annoncé mardi que «le Haut-commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) a remis à la Sûreté générale les données relatives aux déplacés syriens au Liban». «Ces données sont en train d’être traitées et le cas de chaque cas déplacé est étudié à part, y compris ceux qui ne sont pas enregistrés auprès du HCR», a expliqué M. Mikati à l’issue d’une réunion qu’il a tenue à Genève avec le Haut-Commissaire des Nations unies pour les réfugiés, Filippo Grandi. M. Mikati devrait prendre part aux travaux du Forum mondial sur les réfugiés qui débutera mercredi et se poursuivra jusqu’au vendredi 15 décembre.
M. Mikati a à cet égard, invité le HCR à réorienter son soutien aux déplacés syriens «par le biais de projets incitatifs dans leur pays pour les encourager à rentrer».
De son côté, M. Grandi a souligné que «le problème des réfugiés se pose dans plusieurs pays» et que ce dossier constitue «un défi pour le HCR puisque le soutien financier n’est plus aussi important qu’il l’était». «Nous pensons que la meilleure solution consiste à aider les déplacés en Syrie, mais cela prendra du temps», a-t-il ajouté.
M. Grandi a par ailleurs souligné qu’il a été convenu avec la Syrie à ouvrir un bureau de coordination du HCR à la frontière libano-syrienne, ce qui permettra de contrôler l’exode.
Pour rappel, le Liban avait conclu, en août, un accord avec le HCR sur la transmission des données relatives aux déplacés syriens.
M. Mikati a à cet égard, invité le HCR à réorienter son soutien aux déplacés syriens «par le biais de projets incitatifs dans leur pays pour les encourager à rentrer».
De son côté, M. Grandi a souligné que «le problème des réfugiés se pose dans plusieurs pays» et que ce dossier constitue «un défi pour le HCR puisque le soutien financier n’est plus aussi important qu’il l’était». «Nous pensons que la meilleure solution consiste à aider les déplacés en Syrie, mais cela prendra du temps», a-t-il ajouté.
M. Grandi a par ailleurs souligné qu’il a été convenu avec la Syrie à ouvrir un bureau de coordination du HCR à la frontière libano-syrienne, ce qui permettra de contrôler l’exode.
Pour rappel, le Liban avait conclu, en août, un accord avec le HCR sur la transmission des données relatives aux déplacés syriens.
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