Le patriarche maronite, Béchara Raï, a reçu, mercredi dans l’après-midi, l’ambassadeur saoudien, Walid al-Boukhari.
Le porte-parole de Bkerké, Walid Ghayad, a rapporté à l’agence d’information Al-Markaziya, que «M. Boukhari a transmis le soutien de l’Arabie saoudite aux positions du patriarche maronite, notamment celles qu’il exprime dans ses homélies». Il a également souligné que «le Royaume saoudien et le Comité quinquennal, dont il (le Royaume) fait partie avec les États-Unis, la France, le Qatar et l’Égypte, sont préoccupés par la (l’éventuelle) vacance dans la direction de l’armée et espèrent que les représentants s’acquitteront de leurs fonctions pour éviter ce vide».
De son côté, Mgr Raï a souligné «la nécessité de prolonger le mandat du commandant en chef de l’armée, le général Joseph Aoun, pour des raisons de position nationale et par souci de la position de la présidence». Toujours selon la même source, le patriarche maronite a exprimé à l’ambassadeur saoudien «sa crainte d’un complot qui se tramerait autour de la prolongation du mandat du commandant de l’armée», exprimant toutefois «ses doutes» autour de cette question. Le patriarche maronite a dans ce cadre mis en garde contre les mauvaises interprétations de cette affaire, notamment celles consistant à faire croire qu’il s’agirait d’un conflit entre maronites.
Le porte-parole de Bkerké, Walid Ghayad, a rapporté à l’agence d’information Al-Markaziya, que «M. Boukhari a transmis le soutien de l’Arabie saoudite aux positions du patriarche maronite, notamment celles qu’il exprime dans ses homélies». Il a également souligné que «le Royaume saoudien et le Comité quinquennal, dont il (le Royaume) fait partie avec les États-Unis, la France, le Qatar et l’Égypte, sont préoccupés par la (l’éventuelle) vacance dans la direction de l’armée et espèrent que les représentants s’acquitteront de leurs fonctions pour éviter ce vide».
De son côté, Mgr Raï a souligné «la nécessité de prolonger le mandat du commandant en chef de l’armée, le général Joseph Aoun, pour des raisons de position nationale et par souci de la position de la présidence». Toujours selon la même source, le patriarche maronite a exprimé à l’ambassadeur saoudien «sa crainte d’un complot qui se tramerait autour de la prolongation du mandat du commandant de l’armée», exprimant toutefois «ses doutes» autour de cette question. Le patriarche maronite a dans ce cadre mis en garde contre les mauvaises interprétations de cette affaire, notamment celles consistant à faire croire qu’il s’agirait d’un conflit entre maronites.
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