Le patriarche maronite, Béchara Raï, a salué le renouvellement du mandat du commandant en chef de l’armée, le général Joseph Aoun, pour une année supplémentaire. Une décision qui, selon lui, a préservé l’unité et l’intégrité de l’armée.
«Nous remercions Dieu d’avoir épargné au Liban un risque sécuritaire grâce à la Chambre des députés qui a renouvelé les mandats du commandant de l’armée et des forces de sécurité intérieure (FSI)», a déclaré le patriarche maronite dans son homélie, dimanche, à Bkerké.
«L’intérêt national suprême exigeait d’éviter un vide mortel à la tête de l’armée et de préserver son unité afin d’éviter toute déstabilisation dans ses rangs en raison d’un changement», a-t-il ajouté.
Le patriarche maronite a également souligné l’importance de soutenir cette démarche par l’élection d’un président de la République.
«Il faut que les représentants de la nation comprennent que le chaos politique écrasant, la violation de la Constitution et les divisions ne peuvent être éliminés qu’avec la présence d’un chef de l’État», a déclaré Mgr Raï, soulignant qu’«il n’y a pas d’État sans un président honnête». Il espère que «le Parlement se réunira rapidement pour élire un président».
«Nous remercions Dieu d’avoir épargné au Liban un risque sécuritaire grâce à la Chambre des députés qui a renouvelé les mandats du commandant de l’armée et des forces de sécurité intérieure (FSI)», a déclaré le patriarche maronite dans son homélie, dimanche, à Bkerké.
«L’intérêt national suprême exigeait d’éviter un vide mortel à la tête de l’armée et de préserver son unité afin d’éviter toute déstabilisation dans ses rangs en raison d’un changement», a-t-il ajouté.
Le patriarche maronite a également souligné l’importance de soutenir cette démarche par l’élection d’un président de la République.
«Il faut que les représentants de la nation comprennent que le chaos politique écrasant, la violation de la Constitution et les divisions ne peuvent être éliminés qu’avec la présence d’un chef de l’État», a déclaré Mgr Raï, soulignant qu’«il n’y a pas d’État sans un président honnête». Il espère que «le Parlement se réunira rapidement pour élire un président».
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