La commission parlementaire des Finances et du Budget, présidée par le député Ibrahim Kanaan, s’est penchée lundi sur le budget du ministère de l’Énergie et de l’Eau et des institutions qui lui sont affiliées et ce, dans le cadre de l’examen du projet de budget de l’exercice 2024. Celui-ci a été approuvé en Conseil des ministres le 12 septembre.
La commission, qui s’est réunie en présence des ministres sortants des Finances et de l’Énergie, respectivement Youssef Khalil et Walid Fayad, a demandé à ce dernier de soumettre dans les deux prochains jours les détails des projets d’eau et d’électricité dont les crédits sont indiqués dans le budget. Elle lui a également demandé de reformuler, en coordination avec le ministère des Finances, la norme de calcul des frais d’électricité dans toutes les institutions et administrations publiques selon les besoins.
Rappelons dans ce cadre que le président de la commission, Ibrahim Kanaan, a affirmé, la semaine dernière, que l’audit du budget, que ce soit au niveau des chiffres ou des documents juridiques, est sérieuse. Ce travail nécessite une intensification des séances parlementaires, avait-il indiqué, notant que quatre séances seront tenues durant la semaine en cours pour éviter que le budget ne soit approuvé par décret ministériel dans sa forme actuelle.
La commission, qui s’est réunie en présence des ministres sortants des Finances et de l’Énergie, respectivement Youssef Khalil et Walid Fayad, a demandé à ce dernier de soumettre dans les deux prochains jours les détails des projets d’eau et d’électricité dont les crédits sont indiqués dans le budget. Elle lui a également demandé de reformuler, en coordination avec le ministère des Finances, la norme de calcul des frais d’électricité dans toutes les institutions et administrations publiques selon les besoins.
Rappelons dans ce cadre que le président de la commission, Ibrahim Kanaan, a affirmé, la semaine dernière, que l’audit du budget, que ce soit au niveau des chiffres ou des documents juridiques, est sérieuse. Ce travail nécessite une intensification des séances parlementaires, avait-il indiqué, notant que quatre séances seront tenues durant la semaine en cours pour éviter que le budget ne soit approuvé par décret ministériel dans sa forme actuelle.
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