L’ambassadeur de France au Liban, Hervé Magro, a inspecté vendredi l'hôpital public universitaire de la Quarantaine qui a fait peau neuve et s’apprête à reprendre ses activités, trois ans après sa destruction à la suite de la double explosion du port de Beyrouth, le 4 août 2020.
À cette occasion, le diplomate francais a été reçu par le président du conseil d’administration de l’hôpital, le docteur Michel Matar, la directrice de l’hôpital, Karen Sakr, le chef du service pédiatrique, le docteur Robert Sacy, ainsi que par les membres du conseil, Krikor Adjidian et Nicolas Rabat.
S’exprimant au nom du corps médical, infirmier et administratif de l’hôpital, Dr Matar s’est dit «très reconnaissant» vis-à-vis de la France et de son président «pour leur contribution à la réhabilitation de l’hôpital» et «leur soutien continu». Un soutien en faveur de cet hôpital qui «reste l’ultime espoir des plus démunis qui ne peuvent pas se soigner dans le privé et n’ont pas d’assurance médicale».
Par ailleurs, il a remercié l’ambassadeur de France pour sa «visite d’inspection» qui «nous donne l’espoir que la France, amie du Liban, restera à ses côtés, même si elle est accablée par des préoccupations politiques, économiques, sanitaires et humanitaires».
À cette occasion, le diplomate francais a été reçu par le président du conseil d’administration de l’hôpital, le docteur Michel Matar, la directrice de l’hôpital, Karen Sakr, le chef du service pédiatrique, le docteur Robert Sacy, ainsi que par les membres du conseil, Krikor Adjidian et Nicolas Rabat.
S’exprimant au nom du corps médical, infirmier et administratif de l’hôpital, Dr Matar s’est dit «très reconnaissant» vis-à-vis de la France et de son président «pour leur contribution à la réhabilitation de l’hôpital» et «leur soutien continu». Un soutien en faveur de cet hôpital qui «reste l’ultime espoir des plus démunis qui ne peuvent pas se soigner dans le privé et n’ont pas d’assurance médicale».
Par ailleurs, il a remercié l’ambassadeur de France pour sa «visite d’inspection» qui «nous donne l’espoir que la France, amie du Liban, restera à ses côtés, même si elle est accablée par des préoccupations politiques, économiques, sanitaires et humanitaires».
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