©Très solide, l'Allemand Linus Strasser a remporté mardi le slalom nocturne de Schladming devant le surprenant Norvégien Atle Lie McGrath et l'Autrichien Manuel Feller, auteur d'une magnifique remontée. DR
L'Allemand Linus Strasser a remporté le slalom de Coupe du monde de Schladming (Autriche) mardi, la dernière course hommes avant les Jeux olympiques de Pékin (4-20 février).
Ce nouveau slalom au scénario improbable a souri à l'Allemand qui a devancé de 03/100 le Norvégien Atle Lie McGrath et de 39/100 l'Autrichien Manuel Feller, auteur d'une folle remontée en 2e manche (28e du premier tracé).
Après Clément Noël, Sebastian Foss-Solevaag, Johannes Strolz, Lucas Braathen et Dave Ryding, c'est donc un sixième vainqueur différent qui s'est imposé en six slaloms de Coupe du monde cette saison.
C'est la troisième victoire de la carrière de l'Allemand de 29 ans, la deuxième en slalom après Zagreb l'an dernier, devant le jeune Norvégien Atle Lie McGrath, qui signe lui son premier podium en slalom malgré le handicap d'un dossard élevé (34).
L'Autrichien Manuel Feller, de retour d'une contamination au Covid-19, a fait le spectacle en remontant 25 places pour arracher le podium grâce à un deuxième passage supersonique. De quoi ravir les 1.000 bruyants supporters autorisés par la jauge sanitaire dans le stade d'arrivée.
Le Norvégien Lucas Braathen, seulement 12e, conserve la tête du classement de la spécialité, où huit skieurs se tiennent en moins de 100 points.
Le tenant du titre du gros globe, le Français Alexis Pinturault a lui continué son hiver en dents de scie en sortant en première manche.
Déjà sorti à Kitzbühel samedi, Pinturault signe un quatrième zéro en six slaloms cet hiver. Mardi, il skiait pourtant sur un tracé dessiné par son entraîneur, avec une piste impeccable sur laquelle il restait sur trois podiums en trois ans.
"C'est pas terrible du tout. A chaque fois que j'arrive dans une nouvelle course je change d'état d'esprit mais les résultats ne sont pas mieux pour autant et nourrissent cet +enfer+. La situation est loin d'être facile. Au bout d'un moment il y a des doutes et le doute c'est l'ennemi du sportif", a soufflé le Français en zone mixte.
"Aux Jeux ça ne peut pas être pire que ce que je fais en ce moment", a-t-il tenté de positiver, alors qu'il chassera à Pékin son premier titre olympique après avoir déjà remporté trois médailles (bronze du géant en 2014 et 2018, argent du combiné en 2018).
Source AFP
Ce nouveau slalom au scénario improbable a souri à l'Allemand qui a devancé de 03/100 le Norvégien Atle Lie McGrath et de 39/100 l'Autrichien Manuel Feller, auteur d'une folle remontée en 2e manche (28e du premier tracé).
Après Clément Noël, Sebastian Foss-Solevaag, Johannes Strolz, Lucas Braathen et Dave Ryding, c'est donc un sixième vainqueur différent qui s'est imposé en six slaloms de Coupe du monde cette saison.
C'est la troisième victoire de la carrière de l'Allemand de 29 ans, la deuxième en slalom après Zagreb l'an dernier, devant le jeune Norvégien Atle Lie McGrath, qui signe lui son premier podium en slalom malgré le handicap d'un dossard élevé (34).
L'Autrichien Manuel Feller, de retour d'une contamination au Covid-19, a fait le spectacle en remontant 25 places pour arracher le podium grâce à un deuxième passage supersonique. De quoi ravir les 1.000 bruyants supporters autorisés par la jauge sanitaire dans le stade d'arrivée.
Le Norvégien Lucas Braathen, seulement 12e, conserve la tête du classement de la spécialité, où huit skieurs se tiennent en moins de 100 points.
Le tenant du titre du gros globe, le Français Alexis Pinturault a lui continué son hiver en dents de scie en sortant en première manche.
Déjà sorti à Kitzbühel samedi, Pinturault signe un quatrième zéro en six slaloms cet hiver. Mardi, il skiait pourtant sur un tracé dessiné par son entraîneur, avec une piste impeccable sur laquelle il restait sur trois podiums en trois ans.
"C'est pas terrible du tout. A chaque fois que j'arrive dans une nouvelle course je change d'état d'esprit mais les résultats ne sont pas mieux pour autant et nourrissent cet +enfer+. La situation est loin d'être facile. Au bout d'un moment il y a des doutes et le doute c'est l'ennemi du sportif", a soufflé le Français en zone mixte.
"Aux Jeux ça ne peut pas être pire que ce que je fais en ce moment", a-t-il tenté de positiver, alors qu'il chassera à Pékin son premier titre olympique après avoir déjà remporté trois médailles (bronze du géant en 2014 et 2018, argent du combiné en 2018).
Source AFP
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