Dans sa première homélie de la nouvelle année, le patriarche maronite, Béchara Raï, estime qu’il est du devoir du Parlement, «s’il se respecte», de se réunir et d’élire un président. Il a fustigé ceux qui exigent la cessation des hostilités à Gaza avant d’élire un président, ajoutant que ce sont «des prétextes futiles et inacceptables».
Le patriarche soutient que le président de la République n’est pas le chef d’une famille, d’une communauté ou d’un groupe, mais le président du Liban et du peuple libanais. «Le président de la République est le chef de l’État, garant de l’intérêt général de toutes les communautés», poursuit-il, ajoutant qu’en l’absence d’un chef de l’État, le chaos règne.
Il appelle à agir conformément à ce qui enrichit la Constitution plutôt qu’à ce qui l’annule.
Le patriarche Raï insiste aussi sur la neutralité du Liban qui constitue «son identité fondamentale» lui permettant d’accomplir sa mission, dans son environnement arabe.
Mgr Rai souligne aussi que l’accord de Taëf consacre le pacte de coexistence dans l’unité, en faisant du Liban une patrie commune, fondée sur l’acceptation de l’autre.
Le patriarche soutient que le président de la République n’est pas le chef d’une famille, d’une communauté ou d’un groupe, mais le président du Liban et du peuple libanais. «Le président de la République est le chef de l’État, garant de l’intérêt général de toutes les communautés», poursuit-il, ajoutant qu’en l’absence d’un chef de l’État, le chaos règne.
Il appelle à agir conformément à ce qui enrichit la Constitution plutôt qu’à ce qui l’annule.
Le patriarche Raï insiste aussi sur la neutralité du Liban qui constitue «son identité fondamentale» lui permettant d’accomplir sa mission, dans son environnement arabe.
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