- Accueil
- Guerre au Moyen-Orient
- Saleh el-Arouri, le numéro 2 du Hamas
©(AFP)
Saleh el-Arouri était un haut dirigeant du Hamas et un commandant fondateur de son aile militaire, les Brigades Al-Qassam. Il était vice-président du bureau politique du Hamas depuis 2017, et était considéré comme l'un des principaux dirigeants politiques du groupe, ainsi qu'un personnage clé du réseau financier du mouvement contrôlant la bande de Gaza.
Depuis 2015, il a été sanctionné et placé sur la liste des "Specially Designated Global Terrorists" (terroristes mondiaux spécialement désignés) de l'OFAC, en vertu du décret 13224 du département d'État américain.
Emprisonné en Israël entre 1995 et 2010, Arouri a été libéré et expulsé vers la Syrie avant de s'installer en Turquie, puis d'être banni et envoyé au Qatar en 2017. Son dernier lieu de résidence a été le Liban, d'où il a géré les opérations militaires du Hamas en Cisjordanie, en permettant des activités militaires et en organisant l'obtention de fonds.
Arouri a ensuite participé à l'accord qui a conduit à la libération de plus de 1 000 prisonniers palestiniens des prisons israéliennes en échange d'un caporal de l'armée israélienne en 2011.
Il est soupçonné d'avoir participé à la planification, à l'enlèvement et au meurtre de trois adolescents israéliens en Cisjordanie occupée au cours de l'été 2014. Selon le département d'État américain, Arouri a publiquement célébré leurs meurtres, les qualifiant d'"opération héroïque".
La chaîne de télévision al-Manar, dirigée par le Hezbollah, a rapporté que Saleh el-Arouri avait rencontré le dirigeant du Hezbollah, Hassan Nasrallah, et le chef du Jihad islamique palestinien, Ziyad al-Nakhalah, le 25 octobre.
Les forces israéliennes ont bombardé sa maison familiale en Cisjordanie le 31 octobre, mais les résidents locaux ont affirmé qu'elle était inoccupée à ce moment-là.
L'armée israélienne a arrêté une vingtaine de personnes le 21 octobre, dont le frère d'Arouri et neuf de ses neveux, dans le village d'Arura, près de Ramallah.
Saleh el-Arouri était considéré comme un personnage clé des négociations concernant les otages israéliens et le cessez-le-feu.
Il a été tué mardi lors d'une frappe israélienne dans la banlieue sud de Beyrouth.
Depuis 2015, il a été sanctionné et placé sur la liste des "Specially Designated Global Terrorists" (terroristes mondiaux spécialement désignés) de l'OFAC, en vertu du décret 13224 du département d'État américain.
Emprisonné en Israël entre 1995 et 2010, Arouri a été libéré et expulsé vers la Syrie avant de s'installer en Turquie, puis d'être banni et envoyé au Qatar en 2017. Son dernier lieu de résidence a été le Liban, d'où il a géré les opérations militaires du Hamas en Cisjordanie, en permettant des activités militaires et en organisant l'obtention de fonds.
Arouri a ensuite participé à l'accord qui a conduit à la libération de plus de 1 000 prisonniers palestiniens des prisons israéliennes en échange d'un caporal de l'armée israélienne en 2011.
Il est soupçonné d'avoir participé à la planification, à l'enlèvement et au meurtre de trois adolescents israéliens en Cisjordanie occupée au cours de l'été 2014. Selon le département d'État américain, Arouri a publiquement célébré leurs meurtres, les qualifiant d'"opération héroïque".
La chaîne de télévision al-Manar, dirigée par le Hezbollah, a rapporté que Saleh el-Arouri avait rencontré le dirigeant du Hezbollah, Hassan Nasrallah, et le chef du Jihad islamique palestinien, Ziyad al-Nakhalah, le 25 octobre.
Les forces israéliennes ont bombardé sa maison familiale en Cisjordanie le 31 octobre, mais les résidents locaux ont affirmé qu'elle était inoccupée à ce moment-là.
L'armée israélienne a arrêté une vingtaine de personnes le 21 octobre, dont le frère d'Arouri et neuf de ses neveux, dans le village d'Arura, près de Ramallah.
Saleh el-Arouri était considéré comme un personnage clé des négociations concernant les otages israéliens et le cessez-le-feu.
Il a été tué mardi lors d'une frappe israélienne dans la banlieue sud de Beyrouth.
Commentaires