Le site des Forces libanaises a été mis hors service, mardi soir, durant plusieurs heures, après avoir été victime d’une cyberattaque considérée comme «majeure». Cette attaque électronique survient 48 heures seulement après que le site de l’Aéroport international de Beyrouth a été pris, lui aussi, pour cible d’une cyberbrèche de son système informatique et électronique.
Le directeur de la culture au sein du département des médias et de la communication des Forces libanaises, Georges Hayek, a estimé, mercredi matin, que les responsables de cette attaque cybernétique sont «des lâches» et des «ennemis de la liberté d’expression».
«Ils ont tenté de pirater le site Internet des Forces libanaises, mais ils ont échoué», écrit-il sur son compte X (anciennement Twitter) en assurant que «la restauration du site et de la diffusion se fera rapidement».
«Les Forces libanaises restent la voix de la vérité, de la liberté et de la dignité humaine», conclut M. Hayek.
Le directeur de la culture au sein du département des médias et de la communication des Forces libanaises, Georges Hayek, a estimé, mercredi matin, que les responsables de cette attaque cybernétique sont «des lâches» et des «ennemis de la liberté d’expression».
«Ils ont tenté de pirater le site Internet des Forces libanaises, mais ils ont échoué», écrit-il sur son compte X (anciennement Twitter) en assurant que «la restauration du site et de la diffusion se fera rapidement».
«Les Forces libanaises restent la voix de la vérité, de la liberté et de la dignité humaine», conclut M. Hayek.
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