«Beirut Midnight» ou l’art de la dualité
Une exposition solo à venir, intitulée Beirut Midnight, est prévue pour le 9 février. L’événement est organisé par la galerie Lynn Modallal à KED, sur invitation. Il met en relief les relations complexes basées sur l'expérience humaine et les préjugés.

Le point d’orgue de l’exposition Beirut Midnight est une performance théorique en direct du Shibari par René De Sans, un artiste de renom basé à Berlin. L’œuvre de De Sans s’immerge dans la relation complexe entre douleur et plaisir, sondant les possibilités transformatrices que la douleur peut révéler dans la vie des individus. L’exposition reflète une exploration complexe et souvent mal comprise du lien entre douleur et plaisir dans le domaine des expériences physiques. Elle vise à remettre en question et à déconstruire la vision traditionnelle selon laquelle la douleur et le plaisir sont des éléments intrinsèquement opposés dans l’expérience humaine. Mettant l’accent sur la création d’une atmosphère respectueuse et sécurisée, l’exposition est un événement sur liste d’invités uniquement.


Le Shibari, terme qui se traduit du japonais par «attacher», se réfère dans son contexte contemporain à une forme d’art ancienne japonaise de bondage par corde. C’est une pratique imprégnée de tradition, mais qui évolue constamment dans son interprétation et son exécution.
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