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- Guerre au Moyen-Orient
- Macron appelle à un respect de la 1701 «mais des deux côtés»
À l’issue de son premier point de presse pour l’année 2024, le président français, Emmanuel Macron, a prévenu le Liban et Israël que «toute escalade (du conflit à la frontière sud) n’est dans l’intérêt d’aucune des parties», appelant à ce que la résolution 1701 du Conseil de sécurité «soit strictement respectée, mais des deux côtés».
Le chef de l’État français a été interrogé, mardi soir, au sujet des tensions à la frontière libano-israélienne, au cours de sa conférence de presse qui portait sur des questions relatives aux relations internationales de la France. La question portait sur les risques d’un éventuel embrasement au Moyen-Orient, en raison des tensions entre le Liban et Israël à la frontière sud et au regard de ce qui se passe en mer Rouge.
M. Macron a expliqué que la France «garde une très grande vigilance depuis le début pour éviter un embrasement régional, pour que le Hezbollah ne se joigne pas au conflit et menace la sécurité d’Israël et surtout pour que le conflit (à Gaza) ne s’étende au Liban».
Il a ensuite réaffirmé l’attachement de la France «à la paix et à la stabilité» de ce pays, en rappelant la médiation française constante pour éviter l’escalade. «Nous avons depuis le début passé des messages directs et indirects à l’ensemble des forces politiques libanaises, à l’ensemble des forces militaires des groupes terroristes et nous avons tout fait pour éviter l’escalade», a-t-il dit.
M. Macron a ensuite confié avoir «fait plusieurs propositions ces dernières semaines aux Israéliens, avec les États-Unis, pour essayer d’avancer sur ce sujet» et ainsi éviter l’escalade. Dans ce contexte, il a dit la volonté de la France de voir «les frappes cesser (…) et les résolutions internationales strictement respectées, mais des deux côtés ». Ceci est «indispensable», selon lui.
Le président français a réaffirmé l’engagement «permanent» de la France dans le cadre de la Finul «et ce, depuis maintenant des décennies». Il a précisé que Paris «reste vigilant avec les Nations unies pour que le mandat des forces internationales soit maintenu, que les moyens soient engagés pour qu’elles assument leur mission et pour que les équilibres soient maintenus».
Le chef de l’État français s’est par ailleurs voulu rassurant sur le volet concernant la mer Rouge, indiquant que «la France œuvre pour garantir la liberté de circulation maritime en mer Rouge comme dans les axes principaux du commerce mondial», a-t-il expliqué. Et d’ajouter: «À ce titre, nous avons une action défensive et nous assumons le cadre de cette action.»
Le chef de l’État français a été interrogé, mardi soir, au sujet des tensions à la frontière libano-israélienne, au cours de sa conférence de presse qui portait sur des questions relatives aux relations internationales de la France. La question portait sur les risques d’un éventuel embrasement au Moyen-Orient, en raison des tensions entre le Liban et Israël à la frontière sud et au regard de ce qui se passe en mer Rouge.
M. Macron a expliqué que la France «garde une très grande vigilance depuis le début pour éviter un embrasement régional, pour que le Hezbollah ne se joigne pas au conflit et menace la sécurité d’Israël et surtout pour que le conflit (à Gaza) ne s’étende au Liban».
Il a ensuite réaffirmé l’attachement de la France «à la paix et à la stabilité» de ce pays, en rappelant la médiation française constante pour éviter l’escalade. «Nous avons depuis le début passé des messages directs et indirects à l’ensemble des forces politiques libanaises, à l’ensemble des forces militaires des groupes terroristes et nous avons tout fait pour éviter l’escalade», a-t-il dit.
M. Macron a ensuite confié avoir «fait plusieurs propositions ces dernières semaines aux Israéliens, avec les États-Unis, pour essayer d’avancer sur ce sujet» et ainsi éviter l’escalade. Dans ce contexte, il a dit la volonté de la France de voir «les frappes cesser (…) et les résolutions internationales strictement respectées, mais des deux côtés ». Ceci est «indispensable», selon lui.
Le président français a réaffirmé l’engagement «permanent» de la France dans le cadre de la Finul «et ce, depuis maintenant des décennies». Il a précisé que Paris «reste vigilant avec les Nations unies pour que le mandat des forces internationales soit maintenu, que les moyens soient engagés pour qu’elles assument leur mission et pour que les équilibres soient maintenus».
Le chef de l’État français s’est par ailleurs voulu rassurant sur le volet concernant la mer Rouge, indiquant que «la France œuvre pour garantir la liberté de circulation maritime en mer Rouge comme dans les axes principaux du commerce mondial», a-t-il expliqué. Et d’ajouter: «À ce titre, nous avons une action défensive et nous assumons le cadre de cette action.»
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