©Crédit photo: Adalberto Roque/AFP
Le pianiste cubain José Maria Vitier présente «Nuit insulaire», un concert augmenté d’images virtuelles, préfigurant la 39e édition du Festival international de jazz de Cuba. Ce spectacle, qui se tiendra à La Havane, promet d’être une expérience immersive inédite alliant la majesté de la musique à la magie de la technologie numérique.
Le projet est le fruit d’une collaboration remarquable entre José Maria Vitier, un pianiste et compositeur cubain renommé, et Dominique Roland, cinéaste documentaire français et directeur du Centre des arts d’Enghien-les-Bains. Ensemble, ils ont conçu un spectacle où la musique et l’image numérique fusionnent pour créer une réalité onirique multidimensionnelle, un hommage vibrant à la culture cubaine et à la ville de La Havane.
José Maria Vitier, âgé de 70 ans, est une figure emblématique de la scène musicale cubaine. Connu pour ses compositions pour divers films cubains, notamment le célèbre Fraise et chocolat (1993), Vitier est un artiste dont l’œuvre transcende les frontières et les genres. Avec Nuit insulaire, il franchit une nouvelle étape dans son parcours artistique, intégrant des technologies de pointe à sa musique.
Le concept du concert repose sur un piano qui semble flotter sur les eaux, entouré de nuées d’étoiles qui réagissent à l’intensité de la musique. Cette mise en scène, couplée à l’utilisation de capteurs, permettant aux images projetées sur deux toiles de réagir aux mouvements de la musique, crée une immersion totale. Les spectateurs se trouvent plongés dans un univers où le numérique et l’organique s’entremêlent, où l’informatique s’efface au profit de l’interaction entre l’image et les artistes.
Dominique Roland, qui filme Cuba depuis une trentaine d’années, souligne l’importance de cette interaction. Les aspects numériques deviennent une extension de la musique, enrichissant l’expérience sans jamais la dominer. Grâce à la technologie numérique, des effets visuels sont créés en temps réel, interagissant visuellement avec la performance des musiciens sur scène.
Le spectacle est une exploration de l’éclectisme de la carrière de Vitier, un voyage musical qui navigue entre jazz et classique, rythmes traditionnels cubains et musiques de film. Sur scène, Vitier est rejoint par un quartet de talent, comprenant Niurka Gonzalez à la flûte, Abel Costa à la contrebasse et Yaroldy Abreu aux percussions. Ensemble, ils forment une symbiose parfaite, illustrant l’harmonie entre les différentes expressions artistiques.
Le concert de Nuit insulaire se joue en prologue du Festival international Jazz Plaza, un événement majeur qui se déroule du 21 au 28 janvier à La Havane et à Santiago de Cuba. Le festival est une vitrine de la richesse et de la diversité de la scène jazz cubaine et internationale, attirant des artistes et des amateurs de jazz du monde entier.
La présence de quatre techniciens français, accompagnant Dominique Roland à La Havane, souligne l’aspect international et collaboratif du projet. Leur expertise technique est cruciale pour la mise en place de ce spectacle ambitieux, un témoignage de la fusion réussie entre l’art et la technologie.
Ce concert est une expérience sensorielle et émotionnelle. José Maria Vitier et son équipe ont créé un «nouveau lyrisme», où les frontières entre le réel et le virtuel sont estompées, où la musique ne se contente pas d’être écoutée, mais se vit et se ressent à travers chaque fibre de l’être.
Avec AFP
Le projet est le fruit d’une collaboration remarquable entre José Maria Vitier, un pianiste et compositeur cubain renommé, et Dominique Roland, cinéaste documentaire français et directeur du Centre des arts d’Enghien-les-Bains. Ensemble, ils ont conçu un spectacle où la musique et l’image numérique fusionnent pour créer une réalité onirique multidimensionnelle, un hommage vibrant à la culture cubaine et à la ville de La Havane.
José Maria Vitier, âgé de 70 ans, est une figure emblématique de la scène musicale cubaine. Connu pour ses compositions pour divers films cubains, notamment le célèbre Fraise et chocolat (1993), Vitier est un artiste dont l’œuvre transcende les frontières et les genres. Avec Nuit insulaire, il franchit une nouvelle étape dans son parcours artistique, intégrant des technologies de pointe à sa musique.
Le concept du concert repose sur un piano qui semble flotter sur les eaux, entouré de nuées d’étoiles qui réagissent à l’intensité de la musique. Cette mise en scène, couplée à l’utilisation de capteurs, permettant aux images projetées sur deux toiles de réagir aux mouvements de la musique, crée une immersion totale. Les spectateurs se trouvent plongés dans un univers où le numérique et l’organique s’entremêlent, où l’informatique s’efface au profit de l’interaction entre l’image et les artistes.
Dominique Roland, qui filme Cuba depuis une trentaine d’années, souligne l’importance de cette interaction. Les aspects numériques deviennent une extension de la musique, enrichissant l’expérience sans jamais la dominer. Grâce à la technologie numérique, des effets visuels sont créés en temps réel, interagissant visuellement avec la performance des musiciens sur scène.
Le spectacle est une exploration de l’éclectisme de la carrière de Vitier, un voyage musical qui navigue entre jazz et classique, rythmes traditionnels cubains et musiques de film. Sur scène, Vitier est rejoint par un quartet de talent, comprenant Niurka Gonzalez à la flûte, Abel Costa à la contrebasse et Yaroldy Abreu aux percussions. Ensemble, ils forment une symbiose parfaite, illustrant l’harmonie entre les différentes expressions artistiques.
Le concert de Nuit insulaire se joue en prologue du Festival international Jazz Plaza, un événement majeur qui se déroule du 21 au 28 janvier à La Havane et à Santiago de Cuba. Le festival est une vitrine de la richesse et de la diversité de la scène jazz cubaine et internationale, attirant des artistes et des amateurs de jazz du monde entier.
La présence de quatre techniciens français, accompagnant Dominique Roland à La Havane, souligne l’aspect international et collaboratif du projet. Leur expertise technique est cruciale pour la mise en place de ce spectacle ambitieux, un témoignage de la fusion réussie entre l’art et la technologie.
Ce concert est une expérience sensorielle et émotionnelle. José Maria Vitier et son équipe ont créé un «nouveau lyrisme», où les frontières entre le réel et le virtuel sont estompées, où la musique ne se contente pas d’être écoutée, mais se vit et se ressent à travers chaque fibre de l’être.
Avec AFP
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