Samy Gemayel, chef des Kataëb, a insisté, jeudi, sur la nécessité de former une coalition élargie face au Hezbollah.
«Les Kataëb œuvrent depuis plus de cinq mois pour convaincre leurs partenaires au sein de l'opposition, ainsi que certaines personnalités et partis alliés, de former une coalition large, englobant tous ceux qui revendiquent la souveraineté et l'indépendance du Liban», a-t-il indiqué lors d’un entretien accordé au média Al-Hadath.
M. Gemayel a déjà lancé cette initiative en septembre dernier, lors d’une réunion du parti à Bickfaya, appelant à la formation d’une coalition contre «l’hégémonie des armes illégales».
Il a expliqué, dans ce cadre, que l'embrasement à la frontière sud a contribué à sensibiliser les différents acteurs politiques locaux à la nécessité de créer un tel rassemblement élargi. Selon lui, cette coalition devrait inclure non seulement des députés, mais aussi «des groupes et des personnalités politiques, intellectuelles et culturelles, ainsi que des journalistes de toutes les communautés et toutes les régions». Ainsi, «la démarche serait plus efficace et plus globale», a précisé M. Gemayel.
Il s’est voulu optimiste quant aux consultations que les Kataëb poursuivent dans le but de mettre en place cette coalition, «qui serait capable de changer n'importe quelle équation interne au Liban».
«Les Kataëb œuvrent depuis plus de cinq mois pour convaincre leurs partenaires au sein de l'opposition, ainsi que certaines personnalités et partis alliés, de former une coalition large, englobant tous ceux qui revendiquent la souveraineté et l'indépendance du Liban», a-t-il indiqué lors d’un entretien accordé au média Al-Hadath.
M. Gemayel a déjà lancé cette initiative en septembre dernier, lors d’une réunion du parti à Bickfaya, appelant à la formation d’une coalition contre «l’hégémonie des armes illégales».
Il a expliqué, dans ce cadre, que l'embrasement à la frontière sud a contribué à sensibiliser les différents acteurs politiques locaux à la nécessité de créer un tel rassemblement élargi. Selon lui, cette coalition devrait inclure non seulement des députés, mais aussi «des groupes et des personnalités politiques, intellectuelles et culturelles, ainsi que des journalistes de toutes les communautés et toutes les régions». Ainsi, «la démarche serait plus efficace et plus globale», a précisé M. Gemayel.
Il s’est voulu optimiste quant aux consultations que les Kataëb poursuivent dans le but de mettre en place cette coalition, «qui serait capable de changer n'importe quelle équation interne au Liban».
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