Le contingent français de la Force Commander Reserve (FCR) a fait don, le 18 janvier 2024, de matériel aux pompiers d’Alma el-Chaab, village frontalier du Liban-Sud, régulièrement visé par les bombardements israéliens depuis le 8 octobre, date à laquelle le Hezbollah a ouvert le front sud en soutien au Hamas dans sa guerre contre Israël. Du fait des hostilités entre les deux parties, plusieurs dégâts ont été occasionnés dans ce village et ses environs.
Dans le cadre des actions civilo-militaires (CIMIC-Civil Military Cooperation) de la FCR, les Casques bleus français ont ainsi offert aux équipes de la Défense civile libanaise un matériel de protection individuel (tenues de feu) ainsi qu’un équipement automobile (pièces mécaniques destinées aux véhicules d’intervention).
Ils ont également installé des panneaux solaires et mis en place un groupe électrogène de 100 kVA, rétablissant l’alimentation en énergie, nécessaire aux quelque 80 habitants restés dans le village. Ces derniers ont vécu plusieurs semaines sans électricité ni eau courante en raison des dégâts occasionnés par les bombardements israéliens.
Cette opération a été rendue possible grâce à l’installation, par les Casques bleus français, d’un dispositif de sécurisation autour du village, baptisé «Dôme de paix».
Dans le cadre des actions civilo-militaires (CIMIC-Civil Military Cooperation) de la FCR, les Casques bleus français ont ainsi offert aux équipes de la Défense civile libanaise un matériel de protection individuel (tenues de feu) ainsi qu’un équipement automobile (pièces mécaniques destinées aux véhicules d’intervention).
Ils ont également installé des panneaux solaires et mis en place un groupe électrogène de 100 kVA, rétablissant l’alimentation en énergie, nécessaire aux quelque 80 habitants restés dans le village. Ces derniers ont vécu plusieurs semaines sans électricité ni eau courante en raison des dégâts occasionnés par les bombardements israéliens.
Cette opération a été rendue possible grâce à l’installation, par les Casques bleus français, d’un dispositif de sécurisation autour du village, baptisé «Dôme de paix».
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