©Vincent Cassel lors du défilé de mode AMI-Alexandre Mattiussi pour homme automne-hiver 2024/2025
Crédit photo: Alain Jocard / AFP
L'industrie vidéoludique, témoin de l'évolution constante des jeux de combat, s'illustre une fois de plus avec le lancement de Tekken 8. Ce dernier, avec Vincent Cassel en vedette, démontre la pérennité de ce genre, qui continue de captiver les amateurs de jeux vidéo malgré l'ancienneté de franchises telles que Street Fighter et Mortal Kombat, existant depuis plus de trois décennies.
Le vendredi 26 janvier a marqué la sortie de Tekken 8, un événement notable dans le domaine des jeux vidéo de combat. Vincent Cassel, célèbre acteur français de 57 ans, a été choisi par Bandai Namco, l’éditeur japonais, pour incarner le premier personnage français de cette série emblématique lancée en 1994. Les sept premiers opus de la saga ont connu un succès retentissant, avec plus de 40 millions d’exemplaires vendus. Vincent Cassel, exprimant son enthousiasme, déclare à l’AFP: «C’est une proposition qui ne se refuse pas.» Il ajoute, d’un air amusé: «Ce qui est marrant, c’est surtout de faire partie du projet et de savoir qu’il y a des millions et des millions de gens qui vont y jouer dans les prochaines années. C’est une certaine satisfaction de savoir que ma voix de Français parisien va résonner dans le monde entier.»
Le personnage incarné par Cassel, Victor Chevalier, est un quinquagénaire aux cheveux grisonnants, vêtu d’un costume trois pièces. Il se distingue dans le jeu par des répliques mémorables en français. La participation de Vincent Cassel a suscité un vif intérêt, comme il le raconte: «Sitôt ma participation au projet connue, j’ai reçu des coups de fil du monde entier, de gens qui ne m’avaient pas parlé depuis 20 ans: ‘Waouw, t’es dans Tekken!’ Même quand j’étais dans des gros films, je ne recevais pas ces coups de fil.»
Les séries rivales Street Fighter et Mortal Kombat, lancées respectivement en 1987 et 1992, continuent également de jouir d’une popularité soutenue, comme en témoignent leurs dernières éditions. Julien Pillot, économiste et spécialiste des industries culturelles, explique pour l’AFP: «Quand tu as la bonne formule, il s’agit juste de la conserver et de faire les sauts technologiques quand c’est nécessaire.» Ces franchises, tout en conservant leurs éléments emblématiques, ont su évoluer pour répondre aux attentes d’une audience moderne et diverse.
Les efforts pour rajeunir ces séries classiques incluent l’introduction de nouveaux personnages et la modernisation de l’esthétique des figures existantes. Par exemple, dans Street Fighter, les personnages féminins tels que Chun-Li et Cammy White ont subi des transformations notables. Takayuki Nakayama, réalisateur de Street Fighter 6, souligne: «Notre défi était de changer considérablement leur apparence par rapport à ce que nous avions déjà vu.»
Avec AFP
Le vendredi 26 janvier a marqué la sortie de Tekken 8, un événement notable dans le domaine des jeux vidéo de combat. Vincent Cassel, célèbre acteur français de 57 ans, a été choisi par Bandai Namco, l’éditeur japonais, pour incarner le premier personnage français de cette série emblématique lancée en 1994. Les sept premiers opus de la saga ont connu un succès retentissant, avec plus de 40 millions d’exemplaires vendus. Vincent Cassel, exprimant son enthousiasme, déclare à l’AFP: «C’est une proposition qui ne se refuse pas.» Il ajoute, d’un air amusé: «Ce qui est marrant, c’est surtout de faire partie du projet et de savoir qu’il y a des millions et des millions de gens qui vont y jouer dans les prochaines années. C’est une certaine satisfaction de savoir que ma voix de Français parisien va résonner dans le monde entier.»
Le personnage incarné par Cassel, Victor Chevalier, est un quinquagénaire aux cheveux grisonnants, vêtu d’un costume trois pièces. Il se distingue dans le jeu par des répliques mémorables en français. La participation de Vincent Cassel a suscité un vif intérêt, comme il le raconte: «Sitôt ma participation au projet connue, j’ai reçu des coups de fil du monde entier, de gens qui ne m’avaient pas parlé depuis 20 ans: ‘Waouw, t’es dans Tekken!’ Même quand j’étais dans des gros films, je ne recevais pas ces coups de fil.»
Les séries rivales Street Fighter et Mortal Kombat, lancées respectivement en 1987 et 1992, continuent également de jouir d’une popularité soutenue, comme en témoignent leurs dernières éditions. Julien Pillot, économiste et spécialiste des industries culturelles, explique pour l’AFP: «Quand tu as la bonne formule, il s’agit juste de la conserver et de faire les sauts technologiques quand c’est nécessaire.» Ces franchises, tout en conservant leurs éléments emblématiques, ont su évoluer pour répondre aux attentes d’une audience moderne et diverse.
Les efforts pour rajeunir ces séries classiques incluent l’introduction de nouveaux personnages et la modernisation de l’esthétique des figures existantes. Par exemple, dans Street Fighter, les personnages féminins tels que Chun-Li et Cammy White ont subi des transformations notables. Takayuki Nakayama, réalisateur de Street Fighter 6, souligne: «Notre défi était de changer considérablement leur apparence par rapport à ce que nous avions déjà vu.»
Avec AFP
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