©(AFP PHOTO / PLANET LABS PBC)
Les représailles contre les responsables de la mort des trois militaires américains en Jordanie seront "très conséquentes", ont menacé les États-Unis lundi.
Les États-Unis ont annoncé lundi des représailles "très conséquentes" après une frappe de drone qui a tué trois militaires américains, en Jordanie dimanche. Celle-ci avait été imputée à des groupes pro-Iran, alors que Téhéran réfute toute implication dans cette attaque qui survient dans un contexte régional déjà explosif.
Le président Joe Biden "répondra, vous savez, d'une manière très conséquente. Mais nous ne cherchons pas de guerre avec l'Iran. Nous ne cherchons pas un conflit plus large au Moyen-Orient", a déclaré lundi sur CNN John Kirby, porte-parole du Conseil de sécurité nationale de la Maison-Blanche.
La "Résistance islamique en Irak", nébuleuse de combattants issus de groupes armés pro-Iran, a revendiqué des attaques menées "avec des drones" dimanche à l'aube contre trois bases à la frontière entre la Syrie et la Jordanie, accueillant des soldats américains, nommant notamment les secteurs frontaliers d'Al-Tanf et de Rukban.
La frappe de drone a touché la "Tour 22", base logistique en territoire jordanien, située juste en face de la zone de Rukban, en territoire syrien, selon l'armée américaine.
Cette position abrite 350 membres de l'armée de terre et de l'air de Washington, assurant des missions de soutien essentielles, notamment dans le cadre de la coalition internationale engagée contre le groupe État islamique (EI).
Avec trois morts et 34 blessés, il s'agit du bilan humain le plus lourd depuis que des groupes armés pro-Iran ont lancé à la mi-octobre des tirs de roquettes et frappes de drones contre les troupes de Washington et celles de la coalition internationale antijihadistes.
"N'ayez aucun doute: nous allons faire rendre des comptes à tous les responsables, quand et comme nous le voulons", avait promis dimanche le président américain Joe Biden. Il a aussi accusé "des groupes de combattants radicaux soutenus par l'Iran opérant en Syrie et en Irak" d'être responsables de l'attaque contre les troupes américaines "basées dans le nord-est de la Jordanie, près de la frontière syrienne".
La Jordanie a condamné une attaque "terroriste" contre "une position avancée à la frontière avec la Syrie".
Les États-Unis ont annoncé lundi des représailles "très conséquentes" après une frappe de drone qui a tué trois militaires américains, en Jordanie dimanche. Celle-ci avait été imputée à des groupes pro-Iran, alors que Téhéran réfute toute implication dans cette attaque qui survient dans un contexte régional déjà explosif.
Le président Joe Biden "répondra, vous savez, d'une manière très conséquente. Mais nous ne cherchons pas de guerre avec l'Iran. Nous ne cherchons pas un conflit plus large au Moyen-Orient", a déclaré lundi sur CNN John Kirby, porte-parole du Conseil de sécurité nationale de la Maison-Blanche.
La "Résistance islamique en Irak", nébuleuse de combattants issus de groupes armés pro-Iran, a revendiqué des attaques menées "avec des drones" dimanche à l'aube contre trois bases à la frontière entre la Syrie et la Jordanie, accueillant des soldats américains, nommant notamment les secteurs frontaliers d'Al-Tanf et de Rukban.
La frappe de drone a touché la "Tour 22", base logistique en territoire jordanien, située juste en face de la zone de Rukban, en territoire syrien, selon l'armée américaine.
Cette position abrite 350 membres de l'armée de terre et de l'air de Washington, assurant des missions de soutien essentielles, notamment dans le cadre de la coalition internationale engagée contre le groupe État islamique (EI).
Avec trois morts et 34 blessés, il s'agit du bilan humain le plus lourd depuis que des groupes armés pro-Iran ont lancé à la mi-octobre des tirs de roquettes et frappes de drones contre les troupes de Washington et celles de la coalition internationale antijihadistes.
"N'ayez aucun doute: nous allons faire rendre des comptes à tous les responsables, quand et comme nous le voulons", avait promis dimanche le président américain Joe Biden. Il a aussi accusé "des groupes de combattants radicaux soutenus par l'Iran opérant en Syrie et en Irak" d'être responsables de l'attaque contre les troupes américaines "basées dans le nord-est de la Jordanie, près de la frontière syrienne".
La Jordanie a condamné une attaque "terroriste" contre "une position avancée à la frontière avec la Syrie".
Lire aussi
Commentaires