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- Comité tripartite: les réunions à Naqoura suspendues depuis le 12 septembre dernier
Le comité tripartite libano-israélo-onusien a suspendu, momentanément, et depuis le début de la guerre à Gaza entre Israël et le Hamas, le 7 octobre dernier, ses réunions qui se tenaient régulièrement au siège de la Force intérimaire des Nations-Unies au Liban (Finul), à Ras al-Naqoura, dans le sud du Liban.
Selon une source bien informée, la dernière réunion du comité regroupant des officiers libanais et israéliens sous la supervision de la Finul a eu lieu le 12 septembre dernier. «Les rencontres de Naqoura ne reprendront que lorsque la situation au Liban-Sud, et plus largement dans la région, se seront stabilisées», comme l’a appris Ici Beyrouth.
Il convient de souligner que le comité a joué un rôle fondamental dans le cadre des pourparlers engagés pour la délimitation des frontières maritimes entre le Liban et Israël et qui ont abouti à la conclusion d’un accord entre les deux pays à ce niveau. Il a, par ailleurs, veillé, dans le cadre de ses réunions, à réduire les tensions frontalières entre le Liban et l’État hébreu, et à garantir l’application de la résolution 1701 du Conseil de sécurité des Nations unies, adoptée en 2006 et qui prévoit une cessation complète des hostilités entre Israël et le Hezbollah.
Selon une source bien informée, la dernière réunion du comité regroupant des officiers libanais et israéliens sous la supervision de la Finul a eu lieu le 12 septembre dernier. «Les rencontres de Naqoura ne reprendront que lorsque la situation au Liban-Sud, et plus largement dans la région, se seront stabilisées», comme l’a appris Ici Beyrouth.
Il convient de souligner que le comité a joué un rôle fondamental dans le cadre des pourparlers engagés pour la délimitation des frontières maritimes entre le Liban et Israël et qui ont abouti à la conclusion d’un accord entre les deux pays à ce niveau. Il a, par ailleurs, veillé, dans le cadre de ses réunions, à réduire les tensions frontalières entre le Liban et l’État hébreu, et à garantir l’application de la résolution 1701 du Conseil de sécurité des Nations unies, adoptée en 2006 et qui prévoit une cessation complète des hostilités entre Israël et le Hezbollah.
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