©Michel Aoun a été reçu samedi matin par le cheikh Abdelatif Deriane à Dar el-Fatwa.
©Dalati et Nohra
Le chef de l’État Michel Aoun a souligné "le rôle important que joue la communauté sunnite pour préserver l’unité du Liban et sa diversité politique".
Le chef de l’État Michel Aoun a souligné samedi "le rôle important que joue la communauté sunnite pour préserver l’unité du Liban et sa diversité politique". Insistant sur la nécessité qu’elle participe "aux côtés des autres composantes à la vie nationale et politique, ainsi qu’aux échéances qui détermineront l’avenir du Liban et de ses fils", M. Aoun a affirmé que le retrait de "la communauté sunnite de la vie politique entraînera un déséquilibre politique".
"Aujourd’hui, le Liban a besoin plus que jamais de la solidarité de ses fils et d’une entente au sujet de l’État et des institutions constitutionnelles", a ajouté M. Aoun à l’issue de son entretien avec le mufti de la République, Abdelatif Deriane, à Dar el-Fatwa.
Notant que les discussions ont porté sur la crise économique qui sévit dans le pays, le chef de l’État a mis l’accent sur "la nécessité d’une coopération entre les différentes parties et composantes pour sortir de la crise de manière à préserver la dignité du citoyen".
En ce qui concerne les relations avec les pays arabes, M. Aoun a insisté sur la nécessité d’établir avec eux les meilleures relations. "La priorité reste à la préservation de la paix civile et de la stabilité au Liban", a-t-il déclaré.
Interrogé sur les législatives, M. Aoun a affirmé qu’il "n’y a aucune raison pour les ajourner".
Le chef de l’État Michel Aoun a souligné samedi "le rôle important que joue la communauté sunnite pour préserver l’unité du Liban et sa diversité politique". Insistant sur la nécessité qu’elle participe "aux côtés des autres composantes à la vie nationale et politique, ainsi qu’aux échéances qui détermineront l’avenir du Liban et de ses fils", M. Aoun a affirmé que le retrait de "la communauté sunnite de la vie politique entraînera un déséquilibre politique".
"Aujourd’hui, le Liban a besoin plus que jamais de la solidarité de ses fils et d’une entente au sujet de l’État et des institutions constitutionnelles", a ajouté M. Aoun à l’issue de son entretien avec le mufti de la République, Abdelatif Deriane, à Dar el-Fatwa.
Notant que les discussions ont porté sur la crise économique qui sévit dans le pays, le chef de l’État a mis l’accent sur "la nécessité d’une coopération entre les différentes parties et composantes pour sortir de la crise de manière à préserver la dignité du citoyen".
En ce qui concerne les relations avec les pays arabes, M. Aoun a insisté sur la nécessité d’établir avec eux les meilleures relations. "La priorité reste à la préservation de la paix civile et de la stabilité au Liban", a-t-il déclaré.
Interrogé sur les législatives, M. Aoun a affirmé qu’il "n’y a aucune raison pour les ajourner".
Lire aussi
Commentaires