Des frappes aériennes ont visé samedi tard dans la soirée plusieurs régions contrôlées par les Houthis au Yémen, dont la capitale Sanaa, a indiqué la chaîne de télévision du groupe pro-iranien en accusant les États-Unis et la Grande-Bretagne.
A Sanaa, des témoins ont fait état de fortes explosions vers minuit locale (21H00 GMT) et d'un survol aérien intense.
"Des frappes américaines et britanniques ont ciblé les régions de Sanaa, Hajja, Dhamar, Al-Bayda, Taëz et Hodeida", a indiqué la télévision Al-Massirah sur X (ex-Twitter).
Un communiqué commun des États-Unis et du Royaume-Uni a indiqué que 36 frappes avaient été menées sur 13 sites, touchant des positions souterraines, des systèmes de défense militaire et un radar.
Selon l'agence de presse AP, des avions de chasse ont décollé du porte-avion USS Dwight D. Eisenhower pour bombarder les positions au Yémen. Des missiles Tomahawks ont également été utilisés.
Les États-Unis ont mené des frappes aériennes vendredi dans l’est de la Syrie, entraînant la mort d’au moins 18 combattants pro-iraniens, les cibles des frappes étaient les forces du Corps des gardiens de la révolution islamique (CGRI) de l'Iran et des milices associées.
Plus tôt dans la journée de samedi, le Commandement américain pour le Moyen-Orient (Centcom) a annoncé avoir procédé "à environ 19h20" locales (16H20 GMT) à des frappes au Yémen visant six missiles antinavires des Houthis "prêts à être lancés contre des navires en mer Rouge", où ces rebelles proches de l'Iran multiplient les attaques.
Les Houthis, en guerre contre le pouvoir au Yémen depuis 2014, contrôlent de vastes régions de ce pays pauvre de la péninsule arabique.
Depuis la mi-novembre, ils mènent des attaques contre des navires marchands en mer Rouge et dans le Golfe d'Aden, et tirent des missiles en direction d'Israël.
Les États-Unis et la Grande-Bretagne ont mené ces dernières semaines plusieurs frappes contre des cibles des Houthis au Yémen, y compris à Sanaa.
Maria Chami, avec AFP
A Sanaa, des témoins ont fait état de fortes explosions vers minuit locale (21H00 GMT) et d'un survol aérien intense.
"Des frappes américaines et britanniques ont ciblé les régions de Sanaa, Hajja, Dhamar, Al-Bayda, Taëz et Hodeida", a indiqué la télévision Al-Massirah sur X (ex-Twitter).
Un communiqué commun des États-Unis et du Royaume-Uni a indiqué que 36 frappes avaient été menées sur 13 sites, touchant des positions souterraines, des systèmes de défense militaire et un radar.
Selon l'agence de presse AP, des avions de chasse ont décollé du porte-avion USS Dwight D. Eisenhower pour bombarder les positions au Yémen. Des missiles Tomahawks ont également été utilisés.
Les États-Unis ont mené des frappes aériennes vendredi dans l’est de la Syrie, entraînant la mort d’au moins 18 combattants pro-iraniens, les cibles des frappes étaient les forces du Corps des gardiens de la révolution islamique (CGRI) de l'Iran et des milices associées.
Plus tôt dans la journée de samedi, le Commandement américain pour le Moyen-Orient (Centcom) a annoncé avoir procédé "à environ 19h20" locales (16H20 GMT) à des frappes au Yémen visant six missiles antinavires des Houthis "prêts à être lancés contre des navires en mer Rouge", où ces rebelles proches de l'Iran multiplient les attaques.
Les Houthis, en guerre contre le pouvoir au Yémen depuis 2014, contrôlent de vastes régions de ce pays pauvre de la péninsule arabique.
Depuis la mi-novembre, ils mènent des attaques contre des navires marchands en mer Rouge et dans le Golfe d'Aden, et tirent des missiles en direction d'Israël.
Les États-Unis et la Grande-Bretagne ont mené ces dernières semaines plusieurs frappes contre des cibles des Houthis au Yémen, y compris à Sanaa.
Maria Chami, avec AFP
Lire aussi
Commentaires