Le président de la Chambre, Nabih Berry, a rejeté les appels de l'opposition en faveur d'une séance électorale à durée indéterminée jusqu'à l'élection d'un président, soulignant qu'une telle session n'était pas possible «sans consultations ou dialogue préalables».
«S'ils ont une autre solution, qu'ils la proposent. Je suis prêt à travailler dessus», a déclaré M. Berry dans des propos rapportés dimanche par la chaîne de télévision Al-Jadeed.
«J'ai été réceptif à tout ce qui sert le dossier présidentiel», a affirmé M. Berry. «Si c'est nécessaire, le vice-président du Parlement peut présider le dialogue. Je n'y vois aucun inconvénient», a-t-il ajouté.
Il a affirmé que le Parlement n'est pas en mesure d'assurer le quorum de 86 députés requis pour tenir la session électorale, sauf par le biais d'un consensus.
Concernant sa rencontre avec les ambassadeurs du Quintette (France, États-Unis, Arabie saoudite, Qatar et Égypte) pour tenter d'aider le Liban à sortir de l'impasse présidentielle, M. Berry a déclaré qu'ils lui avaient fait part d'une position unie: «Nous n'avons pas de candidat à proposer, nous n'avons pas de veto sur un nom et nous sommes prêts à vous aider dans tout ce que vous voudrez».
Commentant le retour à Beyrouth de l'ancien Premier ministre Saad Hariri, M. Berry a déclaré qu'«il est le bienvenu pour reprendre le travail politique» quand il le décidera, notant que les dernières élections ont prouvé que M. Hariri jouit toujours d'un grand soutien populaire en dépit de son retrait de la scène politique.
«S'ils ont une autre solution, qu'ils la proposent. Je suis prêt à travailler dessus», a déclaré M. Berry dans des propos rapportés dimanche par la chaîne de télévision Al-Jadeed.
«J'ai été réceptif à tout ce qui sert le dossier présidentiel», a affirmé M. Berry. «Si c'est nécessaire, le vice-président du Parlement peut présider le dialogue. Je n'y vois aucun inconvénient», a-t-il ajouté.
Il a affirmé que le Parlement n'est pas en mesure d'assurer le quorum de 86 députés requis pour tenir la session électorale, sauf par le biais d'un consensus.
Concernant sa rencontre avec les ambassadeurs du Quintette (France, États-Unis, Arabie saoudite, Qatar et Égypte) pour tenter d'aider le Liban à sortir de l'impasse présidentielle, M. Berry a déclaré qu'ils lui avaient fait part d'une position unie: «Nous n'avons pas de candidat à proposer, nous n'avons pas de veto sur un nom et nous sommes prêts à vous aider dans tout ce que vous voudrez».
Commentant le retour à Beyrouth de l'ancien Premier ministre Saad Hariri, M. Berry a déclaré qu'«il est le bienvenu pour reprendre le travail politique» quand il le décidera, notant que les dernières élections ont prouvé que M. Hariri jouit toujours d'un grand soutien populaire en dépit de son retrait de la scène politique.
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