Achraf Rifi, député souverainiste de Tripoli, a annoncé mardi qu'il organisait une série de rencontres avec toutes les forces qui «croient en l’idée de l’État du Grand-Liban», basée sur les principes de souveraineté, de liberté, d’indépendance, de construction de l’État et de lutte contre la corruption.
À l’issue d’une rencontre à Bkerké entre le patriarche maronite, Béchara Raï, et la commission de suivi du projet de «Rassemblement du Grand-Liban», M. Rifi a annoncé l’intention de transformer la commission en institution permanente dont la priorité est la présidence de la République. «Le Grand-Liban doit être gouverné par un État civil qui croit en l’unité dans la diversité et qui respecte les particularités des composantes libanaises, islamiques et chrétiennes», a précisé M. Rifi.
«Nous avons commencé à présenter des idées pratiques» et nous nous apprêtons à rencontrer les Libanais dans toutes les régions, a-t-il poursuivi.
Rappelons que Le Rassemblement pour le Grand-Liban est un regroupement de figures diverses de l’opposition dont le but est de contrecarrer les appels au fédéralisme. L’idée a été lancée le 18 janvier, à Bkerké, par Hayat Arslane. Le projet regroupe de nombreux collectifs issus du mouvement de contestation du 17 octobre 2019 ainsi que des personnalités du 14 mars.
À l’issue d’une rencontre à Bkerké entre le patriarche maronite, Béchara Raï, et la commission de suivi du projet de «Rassemblement du Grand-Liban», M. Rifi a annoncé l’intention de transformer la commission en institution permanente dont la priorité est la présidence de la République. «Le Grand-Liban doit être gouverné par un État civil qui croit en l’unité dans la diversité et qui respecte les particularités des composantes libanaises, islamiques et chrétiennes», a précisé M. Rifi.
«Nous avons commencé à présenter des idées pratiques» et nous nous apprêtons à rencontrer les Libanais dans toutes les régions, a-t-il poursuivi.
Rappelons que Le Rassemblement pour le Grand-Liban est un regroupement de figures diverses de l’opposition dont le but est de contrecarrer les appels au fédéralisme. L’idée a été lancée le 18 janvier, à Bkerké, par Hayat Arslane. Le projet regroupe de nombreux collectifs issus du mouvement de contestation du 17 octobre 2019 ainsi que des personnalités du 14 mars.
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