Les autorités japonaises se sont engagées, mardi, à soutenir l'armée libanaise par le biais d'un accord pour un projet de «soutien d'urgence aux forces armées libanaises qui prévoit l'amélioration des prestations de santé et la mise en œuvre de travaux essentiels».
Cet accord a été signé par les deux parties lors d'une réunion qui s’est tenue à Yarzé en présence du commandant en chef de l’armée, le général Joseph Aoun, l'ambassadeur du Japon, Magoshi Masayuki, et la coordinatrice spéciale des Nations unies au Liban, Joanna Wronecka.
Le document stipule notamment que les autorités japonaises «fourniront un système d'énergie solaire aux deux cliniques du commandement de l'armée (dans la région du Mont-Liban) dont la mise en œuvre sera prise en charge par le Bureau des Nations unies pour les services d'appui aux projets (UNOPS)».
Un projet visant surtout à développer «la capacité de l'armée à fournir des soins de santé à ses membres grâce à des projets d'énergie renouvelable» dans ces circonstances de crises exceptionnelles.
À l’issue de cette rencontre, le général Joseph Aoun a exprimé «ses profonds remerciements aux autorités et au peuple japonais pour ce projet», louant cette initiative «qui vise à aider l'institution militaire». Il a également souligné que «les forces armées libanaises se sont récemment tournées vers les énergies alternatives afin d'économiser du carburant et préserver l'environnement». «C’est grâce au soutien continu de pays, d'armées et de peuples amis que les forces régulières restent prêtes et capables de faire face à tous les défis», a poursuivi le général Aoun.
De son côté, l'ambassadeur Magoshi Masayuki a souligné qu'«en dépit des énormes charges qui pèsent sur elle, l'armée reste le garant constant de l'unité et de la sécurité du Liban». Il a ajouté qu'il est important de la soutenir pour l'aider à remplir ses missions de maintien de la sécurité et de la stabilité au Liban».
La coordinatrice spéciale des Nations unies au Liban, Joanna Wronecka, a par ailleurs souligné que «le projet vise à répondre aux besoins humanitaires des forces régulières, afin d'améliorer et de développer leurs capacités». Ce que le représentant du Bureau des Nations unies pour les services d'appui aux projets (UNOPS) a également relevé.
Cet accord a été signé par les deux parties lors d'une réunion qui s’est tenue à Yarzé en présence du commandant en chef de l’armée, le général Joseph Aoun, l'ambassadeur du Japon, Magoshi Masayuki, et la coordinatrice spéciale des Nations unies au Liban, Joanna Wronecka.
Le document stipule notamment que les autorités japonaises «fourniront un système d'énergie solaire aux deux cliniques du commandement de l'armée (dans la région du Mont-Liban) dont la mise en œuvre sera prise en charge par le Bureau des Nations unies pour les services d'appui aux projets (UNOPS)».
Un projet visant surtout à développer «la capacité de l'armée à fournir des soins de santé à ses membres grâce à des projets d'énergie renouvelable» dans ces circonstances de crises exceptionnelles.
À l’issue de cette rencontre, le général Joseph Aoun a exprimé «ses profonds remerciements aux autorités et au peuple japonais pour ce projet», louant cette initiative «qui vise à aider l'institution militaire». Il a également souligné que «les forces armées libanaises se sont récemment tournées vers les énergies alternatives afin d'économiser du carburant et préserver l'environnement». «C’est grâce au soutien continu de pays, d'armées et de peuples amis que les forces régulières restent prêtes et capables de faire face à tous les défis», a poursuivi le général Aoun.
De son côté, l'ambassadeur Magoshi Masayuki a souligné qu'«en dépit des énormes charges qui pèsent sur elle, l'armée reste le garant constant de l'unité et de la sécurité du Liban». Il a ajouté qu'il est important de la soutenir pour l'aider à remplir ses missions de maintien de la sécurité et de la stabilité au Liban».
La coordinatrice spéciale des Nations unies au Liban, Joanna Wronecka, a par ailleurs souligné que «le projet vise à répondre aux besoins humanitaires des forces régulières, afin d'améliorer et de développer leurs capacités». Ce que le représentant du Bureau des Nations unies pour les services d'appui aux projets (UNOPS) a également relevé.
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