Le Conseil des évêques maronites a mis en garde, mercredi, «contre les tentatives actuelles, tant au niveau international que local, d’adopter une délimitation de la frontière terrestre libano-israélienne en dehors des cadres légaux et institutionnels».
Cette position a été défendue par les évêques maronites durant leur réunion mensuelle présidée par le patriarche maronite, Mgr Béchara Raï, à Bkerké, durant laquelle ils ont insisté pour dire que ce type de négociations faisait partie intégrante «des prérogatives du président de la République». Dans un communiqué, ils ont également indiqué se désolidariser de toute négociation qui surviendrait «en dehors de ce cadre et de son approbation», considérant tout ce qui en ressort comme «nul et non avenu».
Les évêques maronites ont par ailleurs réaffirmé leur soutien inaliénable au patriarche et à ses positions, notamment son «refus de faire commerce de la vie des citoyens au Liban-Sud» dans le contexte de la guerre qui sévit entre le Hezbollah et Israël depuis le 8 octobre.
Dans ce cadre, ils ont déploré «les politiques unilatérales» qui ont affaibli le Liban-Sud en exposant «ses habitants» à la guerre actuelle, tout en appelant à un cessez-le-feu.
Plutôt que d'attiser les tensions, comme l'a fait le Hezbollah en ouvrant le feu contre Israël sur le front sud (après le déclenchement de la guerre à Gaza), il aurait fallu «surveiller la zone frontalière et renforcer les efforts politiques et diplomatiques afin de mettre en œuvre la résolution 1701 du Conseil de sécurité», peut-on encore lire dans le texte.
Dénonçant les conséquences du «vide prolongé et aggravé à la présidence de la République», le Conseil des évêques maronites a appelé les députés de la nation à accélérer l'élection d'un président.
Cette position a été défendue par les évêques maronites durant leur réunion mensuelle présidée par le patriarche maronite, Mgr Béchara Raï, à Bkerké, durant laquelle ils ont insisté pour dire que ce type de négociations faisait partie intégrante «des prérogatives du président de la République». Dans un communiqué, ils ont également indiqué se désolidariser de toute négociation qui surviendrait «en dehors de ce cadre et de son approbation», considérant tout ce qui en ressort comme «nul et non avenu».
Les évêques maronites ont par ailleurs réaffirmé leur soutien inaliénable au patriarche et à ses positions, notamment son «refus de faire commerce de la vie des citoyens au Liban-Sud» dans le contexte de la guerre qui sévit entre le Hezbollah et Israël depuis le 8 octobre.
Dans ce cadre, ils ont déploré «les politiques unilatérales» qui ont affaibli le Liban-Sud en exposant «ses habitants» à la guerre actuelle, tout en appelant à un cessez-le-feu.
Plutôt que d'attiser les tensions, comme l'a fait le Hezbollah en ouvrant le feu contre Israël sur le front sud (après le déclenchement de la guerre à Gaza), il aurait fallu «surveiller la zone frontalière et renforcer les efforts politiques et diplomatiques afin de mettre en œuvre la résolution 1701 du Conseil de sécurité», peut-on encore lire dans le texte.
Dénonçant les conséquences du «vide prolongé et aggravé à la présidence de la République», le Conseil des évêques maronites a appelé les députés de la nation à accélérer l'élection d'un président.
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