Le groupe parlementaire composé du président de la Commission des affaires étrangères, Fadi Alamé, ainsi que des députés Salim Sayegh, Simon Abi Ramia et Elias Khoury a soulevé à Bruxelles la question des réfugiés syriens et leur retour dans leur pays.
Le groupe a entamé mardi une visite officielle à Bruxelles pour discuter de la situation au Liban avec les hauts responsables européens.
En ce qui concerne le dossier des réfugiés syriens, le groupe a mis l’accent sur la situation catastrophique que la présence des réfugiés engendre au Liban. Il a également souligné la nécessité d’appliquer la loi, de contrôler les frontières et d’organiser leur retour dans leur pays en les motivant par le biais des Nations unies» et a demandé à l’Europe de soutenir ce processus.
Le groupe parlementaire libanais a aussi insisté sur l’engagement pour le processus de réformes qui a déjà commencé, tout en soulignant la nécessité de poursuivre cet effort pour achever d’établir les lois correspondantes et rétablir la confiance. Dans ce contexte, le groupe a salué l’allocation de 200 millions d’euros supplémentaires au budget européen.
Les parlementaires ont aussi soulevé la question du financement de l’Unrwa et la suspension de contributions financières par certains pays européens, insistant sur la nécessité de préserver l’agence onusienne pour assurer les droits des Palestiniens.
Ils ont aussi évoqué la situation au Liban-Sud, ainsi que les violations continues de la résolution 1701, affirmant l’engagement du Liban à la mettre en œuvre.
Le groupe a entamé mardi une visite officielle à Bruxelles pour discuter de la situation au Liban avec les hauts responsables européens.
En ce qui concerne le dossier des réfugiés syriens, le groupe a mis l’accent sur la situation catastrophique que la présence des réfugiés engendre au Liban. Il a également souligné la nécessité d’appliquer la loi, de contrôler les frontières et d’organiser leur retour dans leur pays en les motivant par le biais des Nations unies» et a demandé à l’Europe de soutenir ce processus.
Le groupe parlementaire libanais a aussi insisté sur l’engagement pour le processus de réformes qui a déjà commencé, tout en soulignant la nécessité de poursuivre cet effort pour achever d’établir les lois correspondantes et rétablir la confiance. Dans ce contexte, le groupe a salué l’allocation de 200 millions d’euros supplémentaires au budget européen.
Les parlementaires ont aussi soulevé la question du financement de l’Unrwa et la suspension de contributions financières par certains pays européens, insistant sur la nécessité de préserver l’agence onusienne pour assurer les droits des Palestiniens.
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