Le chef du Courant du futur et ancien Premier ministre, Saad Hariri, a eu droit à un véritable bain de foule au centre-ville où il est arrivé à 12h 45 pour se recueillir sur la tombe de son père, l’ancien Premier ministre, Rafic Hariri, assassiné le 14 février 2005, à 12h 55, lors du passage de son convoi, près de l’hôtel Saint-Georges, sur le front de mer, à Beyrouth.
Des milliers de personnes, rassemblées sous la pluie, ont acclamé le leader sunnite qui était entouré de sa tante, l’ancienne députée Bahiya Hariri, et de son oncle, Chafic Hariri.
Saad Hariri a d’abord prié devant la tombe de son père, puis s’est recueilli devant celles des autres victimes du lâche attentat.
Il a pris soin, comme l’an dernier, de se mélanger brièvement à la foule qui l’acclamait, entouré de ses gardes de corps, serrant la main des petits et des grands.
Un grand moment d’émotion pour celui qui avait affirmé, lundi, devant ses visiteurs, que le Liban lui manquait.
Sollicité par la presse pour une déclaration, avant son départ de la Place des martyrs, Saad Hariri a affirmé, dans un message à ses partisans: «Le pouls du pays est là. Préservez-le. Je suis à vos côtés».
Il n’a pas voulu dire s’il comptait opérer un retour à la vie politique, se contentant de déclarer: «Chaque chose en son temps».
Plus tard, lorsque la foule s’est dispersée, l’ancien Premier ministre, Fouad Siniora, et les anciens ministres Ahmad Fatfat et Khaled Kabbani, qui étaient très proches de Rafic Hariri , se sont recueillis sur la tombe de ce dernier.
Des milliers de personnes, rassemblées sous la pluie, ont acclamé le leader sunnite qui était entouré de sa tante, l’ancienne députée Bahiya Hariri, et de son oncle, Chafic Hariri.
Saad Hariri a d’abord prié devant la tombe de son père, puis s’est recueilli devant celles des autres victimes du lâche attentat.
Il a pris soin, comme l’an dernier, de se mélanger brièvement à la foule qui l’acclamait, entouré de ses gardes de corps, serrant la main des petits et des grands.
Un grand moment d’émotion pour celui qui avait affirmé, lundi, devant ses visiteurs, que le Liban lui manquait.
Sollicité par la presse pour une déclaration, avant son départ de la Place des martyrs, Saad Hariri a affirmé, dans un message à ses partisans: «Le pouls du pays est là. Préservez-le. Je suis à vos côtés».
Il n’a pas voulu dire s’il comptait opérer un retour à la vie politique, se contentant de déclarer: «Chaque chose en son temps».
Plus tard, lorsque la foule s’est dispersée, l’ancien Premier ministre, Fouad Siniora, et les anciens ministres Ahmad Fatfat et Khaled Kabbani, qui étaient très proches de Rafic Hariri , se sont recueillis sur la tombe de ce dernier.
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