Le Rassemblement de l'État du Grand Liban a tenu mercredi sa première réunion, en présence de sa coordinatrice, Hayat Arslane, et de plusieurs personnalités de l'opposition.
Rappelons que c'est sous le parrainage du patriarche maronite, Mgr Béchara Raï, que le lancement du Rassemblement de l’État du Grand Liban, avait été annoncé, à partir de Bkerké, le 18 janvier dernier. Il s'agit d'une initiative de l’association Conférence de dialogue de la société civile (CSID). Celle-ci appelle notamment à un retour aux constantes bafouées du Grand Liban de 1943 avec, à leur tête, la neutralité positive prônée dans le cadre du Pacte national et dont le postulat est «ni Orient, ni Occident».
Cette première réunion a été l’occasion de définir «les objectifs» du Rassemblement et «de discuter des moyens de les atteindre», peut-on lire dans le communiqué qui a été publié à l'issue de ces assises. «Elle s'est conclue par une entente sur la mise en œuvre prochaine d'une action sur le terrain pour réclamer l'élection d'un président», selon le texte.
Comme premier objectif, le Rassemblement a convenu «de se rallier à l'État et de respecter la loi et la Constitution pour faire face aux enjeux locaux, régionaux et internationaux pressants, avec tous les dangers qui guettent le Liban et ce, à tous les niveaux politiques, économiques et sociaux». Des enjeux qui nécessitent «des efforts concertés et une unité nationale» ayant pour objectif «de sensibiliser l'opinion publique à la nécessité de s'élever au-dessus des intérêts personnels et immédiats, et d'accorder la priorité à l'intérêt supérieur». Pour le Rassemblement de l’État du Grand Liban, «chaque citoyen est responsable et a un rôle à jouer dans la préservation du pays».
Quid des constantes de ce mouvement? «Il s'agit d'un groupement politique dynamique qui transcende les communautés et les alignements régionaux, qui prône la coexistence libanaise comme base solide de son mécanisme d'action nationale, et qui met l'accent sur la finalité de l'entité libanaise et de son appartenance arabe, et qui tient toujours à préserver les principes de liberté et de justice sur lesquelles le Liban s'est toujours fondé».
Ont pris part à cette première réunion, Hayat Arslane; l'ancien député Chamel Roukos; Joseph Rahmé, président de la Conférence de dialogue de la société civile (CSID); Pierre Geara; Joe Hawar Bassam Zeineldine; Wassim Ghandour; Aslan al-Khatib; Daniel Jourdi; Ali Khalifé; Mohammed Zarif; Mansour Moubarak; Nabil Yazbeck; Assad Nammour; Mohammed Awad; Nadine Daher; Mansour el-Khoury; Najib Zwain; Hicham Bou Ghanem; Abdel Majid Awad, conseiller du général Achraf Rifi; et Sarah Tabet.
Rappelons que c'est sous le parrainage du patriarche maronite, Mgr Béchara Raï, que le lancement du Rassemblement de l’État du Grand Liban, avait été annoncé, à partir de Bkerké, le 18 janvier dernier. Il s'agit d'une initiative de l’association Conférence de dialogue de la société civile (CSID). Celle-ci appelle notamment à un retour aux constantes bafouées du Grand Liban de 1943 avec, à leur tête, la neutralité positive prônée dans le cadre du Pacte national et dont le postulat est «ni Orient, ni Occident».
Cette première réunion a été l’occasion de définir «les objectifs» du Rassemblement et «de discuter des moyens de les atteindre», peut-on lire dans le communiqué qui a été publié à l'issue de ces assises. «Elle s'est conclue par une entente sur la mise en œuvre prochaine d'une action sur le terrain pour réclamer l'élection d'un président», selon le texte.
Comme premier objectif, le Rassemblement a convenu «de se rallier à l'État et de respecter la loi et la Constitution pour faire face aux enjeux locaux, régionaux et internationaux pressants, avec tous les dangers qui guettent le Liban et ce, à tous les niveaux politiques, économiques et sociaux». Des enjeux qui nécessitent «des efforts concertés et une unité nationale» ayant pour objectif «de sensibiliser l'opinion publique à la nécessité de s'élever au-dessus des intérêts personnels et immédiats, et d'accorder la priorité à l'intérêt supérieur». Pour le Rassemblement de l’État du Grand Liban, «chaque citoyen est responsable et a un rôle à jouer dans la préservation du pays».
Quid des constantes de ce mouvement? «Il s'agit d'un groupement politique dynamique qui transcende les communautés et les alignements régionaux, qui prône la coexistence libanaise comme base solide de son mécanisme d'action nationale, et qui met l'accent sur la finalité de l'entité libanaise et de son appartenance arabe, et qui tient toujours à préserver les principes de liberté et de justice sur lesquelles le Liban s'est toujours fondé».
Ont pris part à cette première réunion, Hayat Arslane; l'ancien député Chamel Roukos; Joseph Rahmé, président de la Conférence de dialogue de la société civile (CSID); Pierre Geara; Joe Hawar Bassam Zeineldine; Wassim Ghandour; Aslan al-Khatib; Daniel Jourdi; Ali Khalifé; Mohammed Zarif; Mansour Moubarak; Nabil Yazbeck; Assad Nammour; Mohammed Awad; Nadine Daher; Mansour el-Khoury; Najib Zwain; Hicham Bou Ghanem; Abdel Majid Awad, conseiller du général Achraf Rifi; et Sarah Tabet.
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