Le leader des Forces libanaises (FL), Samir, Geagea, a déclaré que le ministre sortant de l’Intérieur et des Municipalités, Bassam Maoulaoui, «devrait émettre un décret de convocation des organes électoraux avant le 26 février», afin de rester dans le délai constitutionnel pour la tenue des élections municipales au mois de mai.
Dans un communiqué publié lundi, M. Geagea a rappelé que «le mandat des conseils municipaux et régionaux se termine fin mai», et que «la loi sur les élections municipales et locales exige la convocation des organes électoraux au moins 90 jours avant la date de l’échéance».
«Nous sommes pleinement conscients que de vastes régions du Liban-Sud connaissent des opérations militaires qui empêchent la tenue d'élections», a-t-il indiqué, ajoutant qu’«en même temps, nous ne pouvons pas laisser le pays dans un état de paralysie totale, notamment à ce niveau des autorités qui ont un rôle crucial envers le peuple».
Dans ce contexte, le leader FL a estimé qu’il était «inacceptable» de prendre «la situation militaire dans le sud» comme excuse pour «achever la paralysie du pays».
«Nous pouvons envisager le report des élections dans les municipalités qui sont le théâtre d'opérations militaires, étant donné qu'elles traversent des circonstances contraignantes. Cependant, cela ne signifie pas priver à nouveau le pays d'élections municipales», a-t-il martelé.
Et M. Geagea de constater que «de nombreux conseils municipaux sont dissous et la majorité des autres sont paralysés en raison de la prorogation» de leur mandat.
«C’est pourquoi il est impératif de tenir les élections municipales à la date prévue, loin de tout nouveau report, malgré les circonstances militaires malheureuses dans certaines régions du sud», a-t-il conclu.
Pour rappel, le Parlement libanais a déjà reporté, pour deux années consécutives, les élections municipales initialement prévues en mai 2022.
Dans un communiqué publié lundi, M. Geagea a rappelé que «le mandat des conseils municipaux et régionaux se termine fin mai», et que «la loi sur les élections municipales et locales exige la convocation des organes électoraux au moins 90 jours avant la date de l’échéance».
«Nous sommes pleinement conscients que de vastes régions du Liban-Sud connaissent des opérations militaires qui empêchent la tenue d'élections», a-t-il indiqué, ajoutant qu’«en même temps, nous ne pouvons pas laisser le pays dans un état de paralysie totale, notamment à ce niveau des autorités qui ont un rôle crucial envers le peuple».
Dans ce contexte, le leader FL a estimé qu’il était «inacceptable» de prendre «la situation militaire dans le sud» comme excuse pour «achever la paralysie du pays».
«Nous pouvons envisager le report des élections dans les municipalités qui sont le théâtre d'opérations militaires, étant donné qu'elles traversent des circonstances contraignantes. Cependant, cela ne signifie pas priver à nouveau le pays d'élections municipales», a-t-il martelé.
Et M. Geagea de constater que «de nombreux conseils municipaux sont dissous et la majorité des autres sont paralysés en raison de la prorogation» de leur mandat.
«C’est pourquoi il est impératif de tenir les élections municipales à la date prévue, loin de tout nouveau report, malgré les circonstances militaires malheureuses dans certaines régions du sud», a-t-il conclu.
Pour rappel, le Parlement libanais a déjà reporté, pour deux années consécutives, les élections municipales initialement prévues en mai 2022.
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