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- Kataëb: La protection de la frontière devrait être confiée à l’armée
Le bureau politique des Kataëb a estimé, mardi, que «la seule logique valable aujourd’hui consiste à laisser l’armée libanaise se charger de la défense du Liban et de la protection de la frontière, en collaboration avec les forces internationales».
Dans un communiqué publié au terme de la réunion présidée par le chef du parti, Samy Gemayel, les Kataëb ont stigmatisé «la stratégie de dissuasion», selon laquelle le Hezbollah serait en train de détourner l’attention d’Israël de la guerre à Gaza vers le front du Liban-Sud, «aux dépens du pays». «La dissuasion face à toute agression ne relève pas d’une milice usurpant le rôle de l’État, mais elle relève de la responsabilité des institutions légales qui devraient agir conformément à la Constitution et aux lois», peut-on lire dans le communiqué.
Cette démarche devrait s’appuyer, selon le texte, sur «une diplomatie active et efficace qui soutienne l’armée libanaise et qui réclame l’arrêt des combats et œuvre à empêcher leur expansion au Liban». D’ailleurs, cette demande est à présent parrainée par la communauté internationale, qui «soutient le Liban officiel».
Dans ce cadre, le parti a insisté sur le rôle de l’armée libanaise, qui est la seule «autorisée devant le peuple libanais et la communauté internationale» à «participer aux négociations» concernant la situation à la frontière libano-israélienne.
Par ailleurs, les Kataëb ont rejeté les propos de certains responsables du Hezbollah qui affirment vouloir capitaliser sur la bataille au sud pour des acquis internes. «La pratique milicienne a été adoptée depuis 2006 et elle est maintenue jusqu’à nos jours par le Hezbollah au niveau du dossier présidentiel», a dénoncé à cet égard le parti.
Pour lui, la seule solution au blocage observé au niveau de la présidentielle serait que «le Hezb renonce à son diktat et propose un candidat qui puisse être agréé par toutes les parties».
Dans un communiqué publié au terme de la réunion présidée par le chef du parti, Samy Gemayel, les Kataëb ont stigmatisé «la stratégie de dissuasion», selon laquelle le Hezbollah serait en train de détourner l’attention d’Israël de la guerre à Gaza vers le front du Liban-Sud, «aux dépens du pays». «La dissuasion face à toute agression ne relève pas d’une milice usurpant le rôle de l’État, mais elle relève de la responsabilité des institutions légales qui devraient agir conformément à la Constitution et aux lois», peut-on lire dans le communiqué.
Cette démarche devrait s’appuyer, selon le texte, sur «une diplomatie active et efficace qui soutienne l’armée libanaise et qui réclame l’arrêt des combats et œuvre à empêcher leur expansion au Liban». D’ailleurs, cette demande est à présent parrainée par la communauté internationale, qui «soutient le Liban officiel».
Dans ce cadre, le parti a insisté sur le rôle de l’armée libanaise, qui est la seule «autorisée devant le peuple libanais et la communauté internationale» à «participer aux négociations» concernant la situation à la frontière libano-israélienne.
Par ailleurs, les Kataëb ont rejeté les propos de certains responsables du Hezbollah qui affirment vouloir capitaliser sur la bataille au sud pour des acquis internes. «La pratique milicienne a été adoptée depuis 2006 et elle est maintenue jusqu’à nos jours par le Hezbollah au niveau du dossier présidentiel», a dénoncé à cet égard le parti.
Pour lui, la seule solution au blocage observé au niveau de la présidentielle serait que «le Hezb renonce à son diktat et propose un candidat qui puisse être agréé par toutes les parties».
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