Le leader des Forces libanaises, Samir Geagea, a réitéré, mardi, son soutien à l’agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens (Unrwa), lors d’une visite effectuée à la cheffe de son bureau à Beyrouth, Dorothée Klaus.
M. Geagea a ainsi salué le rôle joué par l’Unrwa au Liban en termes de couverture humanitaire, qui «n’est couvert par aucun autre groupe», a-t-il aussi rappelé. Il a en ce sens appelé toutes les parties libanaises, «notamment le gouvernement à œuvrer en faveur du maintien de la mission de l’agence onusienne au Liban car il y va de l’intérêt du pays».
Pour rappel, Dorothée Klaus avait tiré la sonnette d’alarme, jeudi 22 février, au cours d’un entretien accordé à Thomson Reuters dans lequel elle avait averti: «Nous n’avons pas de plan B», affirmant que l’institution onusienne «se retrouvera après le mois de mars sans plan de secours». Dans les faits, l’agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens a déjà perdu plusieurs pays donateurs depuis qu’Israël a accusé, en janvier dernier, douze de ses employés d’avoir pris part à l’attaque du 7 octobre menée par le Hamas contre son territoire.
M. Geagea s’est par ailleurs interrogé sur «l’inclinaison de certains en faveur de l’arrêt du travail de cette organisation, qui est obligatoire et dont l’importance réside dans la continuité de son activité permettant ainsi d’assurer la stabilité et de consolider le droit des Palestiniens à retourner dans leur pays, et ce, en particulier au milieu des discussions actuelles sur la nécessité d’établir un État palestinien» dans le cadre d’une solution à deux États, notamment pour mettre fin au conflit israélo-palestinien.
M. Geagea a ainsi salué le rôle joué par l’Unrwa au Liban en termes de couverture humanitaire, qui «n’est couvert par aucun autre groupe», a-t-il aussi rappelé. Il a en ce sens appelé toutes les parties libanaises, «notamment le gouvernement à œuvrer en faveur du maintien de la mission de l’agence onusienne au Liban car il y va de l’intérêt du pays».
Pour rappel, Dorothée Klaus avait tiré la sonnette d’alarme, jeudi 22 février, au cours d’un entretien accordé à Thomson Reuters dans lequel elle avait averti: «Nous n’avons pas de plan B», affirmant que l’institution onusienne «se retrouvera après le mois de mars sans plan de secours». Dans les faits, l’agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens a déjà perdu plusieurs pays donateurs depuis qu’Israël a accusé, en janvier dernier, douze de ses employés d’avoir pris part à l’attaque du 7 octobre menée par le Hamas contre son territoire.
M. Geagea s’est par ailleurs interrogé sur «l’inclinaison de certains en faveur de l’arrêt du travail de cette organisation, qui est obligatoire et dont l’importance réside dans la continuité de son activité permettant ainsi d’assurer la stabilité et de consolider le droit des Palestiniens à retourner dans leur pays, et ce, en particulier au milieu des discussions actuelles sur la nécessité d’établir un État palestinien» dans le cadre d’une solution à deux États, notamment pour mettre fin au conflit israélo-palestinien.
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