Le chef du Mouvement de l’indépendance, le député Michel Moawad, a reçu l’ambassadeur d’Arabie saoudite, Walid Boukhari, jeudi, dans sa résidence à Baabda.
À l’issue de la rencontre, le député de l’opposition a souligné «la nécessité d’appliquer la résolution 1701 du Conseil de sécurité dans son intégralité», comme «seule solution durable capable d’épargner au peuple libanais davantage de division, de douleur, d’humiliation, de sang et de destruction».
M. Moawad a aussi insisté sur «la nécessité de protéger le Liban et les Libanais d’une guerre généralisée qui pourrait constituer une menace existentielle pour nous tous», faisant ainsi allusion à la dernière escalade de violence entre le Hezbollah et Israël, dans le cadre de la guerre qui les oppose, depuis le 8 octobre, au lendemain de l’attaque du Hamas contre Israël.
Le vide présidentiel que connaît le Liban, depuis octobre 2022, a également été abordé par les deux hommes, qui sont d’accord sur «les conséquences désastreuses de la poursuite du blocage pour tous». Ils considèrent que «l’élection d’un président devrait être l’occasion de remettre de l’ordre dans les institutions» et d’«ouvrir la voie à un véritable État de droit et à l’application des réformes afin que la stabilité puisse être rétablie au Liban».
Profitant de cette réunion, le parlementaire a également salué les efforts entrepris par le groupe des Cinq (Arabie saoudite, États-Unis, France, Qatar et Égypte) et «en particulier par l’Arabie saoudite» pour tenter de sortir le pays de l’impasse et permettre ainsi «d’élire un président qui soit accepté par tous les Libanais et qui puisse rétablir la souveraineté de l’État et le prestige des institutions, ainsi que les relations du Liban avec les pays arabes et le monde».
À l’issue de la rencontre, le député de l’opposition a souligné «la nécessité d’appliquer la résolution 1701 du Conseil de sécurité dans son intégralité», comme «seule solution durable capable d’épargner au peuple libanais davantage de division, de douleur, d’humiliation, de sang et de destruction».
M. Moawad a aussi insisté sur «la nécessité de protéger le Liban et les Libanais d’une guerre généralisée qui pourrait constituer une menace existentielle pour nous tous», faisant ainsi allusion à la dernière escalade de violence entre le Hezbollah et Israël, dans le cadre de la guerre qui les oppose, depuis le 8 octobre, au lendemain de l’attaque du Hamas contre Israël.
Le vide présidentiel que connaît le Liban, depuis octobre 2022, a également été abordé par les deux hommes, qui sont d’accord sur «les conséquences désastreuses de la poursuite du blocage pour tous». Ils considèrent que «l’élection d’un président devrait être l’occasion de remettre de l’ordre dans les institutions» et d’«ouvrir la voie à un véritable État de droit et à l’application des réformes afin que la stabilité puisse être rétablie au Liban».
Profitant de cette réunion, le parlementaire a également salué les efforts entrepris par le groupe des Cinq (Arabie saoudite, États-Unis, France, Qatar et Égypte) et «en particulier par l’Arabie saoudite» pour tenter de sortir le pays de l’impasse et permettre ainsi «d’élire un président qui soit accepté par tous les Libanais et qui puisse rétablir la souveraineté de l’État et le prestige des institutions, ainsi que les relations du Liban avec les pays arabes et le monde».
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