L'émissaire américain Amos Hochstein a entamé, lundi, sa troisième visite au Liban depuis le début de la guerre à Gaza par une visite à Aïn el-Tiné, où il a rencontré le président du Parlement, Nabih Berry.
À l’issue de cette réunion, l’émissaire américain a affirmé que les États-Unis font tous les efforts possibles pour trouver une solution diplomatique au conflit, soulignant que «l'escalade ne bénéficie à aucune partie» et assurant que même «une guerre limitée ne peut pas être contrôlée». Et d'ajouter: «Je suis là pour soutenir une solution diplomatique de désescalade à la frontière sud, permettant aux Libanais de rentrer chez eux et aux Israéliens de faire de même».
Il a aussi mis en garde contre «l'escalade qui n'aidera pas le Liban à se reconstruire et à progresser à ce moment important de son histoire», faisant référence à la montée des violences des derniers jours entre le Hezbollah et Israël.
«Les États-Unis estiment que la solution ne doit être que diplomatique et que les Libanais et les Israéliens méritent de vivre en paix», a-t-il par ailleurs défendu, indiquant «qu’un arrêt temporaire des hostilités n’est pas suffisant».
Interrogé sur une éventuelle trêve du conflit à Gaza discutée et négociée ces derniers jours pour le mois de Ramadan, M. Hochstein a souligné que son pays «œuvre pour un cessez-le-feu à Gaza, pour la libération des prisonniers et pour que la trêve à Gaza s'étende également au Liban-Sud». Ce qui selon lui ne semble pas encore acquis.
À 5h, il rencontrera l'ancien chef du Parti socialiste progressiste Walid Joumblatt.
Au cours de son séjour, l’émissaire américain devrait rencontrer d’autres responsables politiques et leur proposer un projet élaboré par les États-Unis pour la mise en œuvre de la résolution 1701 du Conseil de sécurité des Nations unies.
À l’issue de cette réunion, l’émissaire américain a affirmé que les États-Unis font tous les efforts possibles pour trouver une solution diplomatique au conflit, soulignant que «l'escalade ne bénéficie à aucune partie» et assurant que même «une guerre limitée ne peut pas être contrôlée». Et d'ajouter: «Je suis là pour soutenir une solution diplomatique de désescalade à la frontière sud, permettant aux Libanais de rentrer chez eux et aux Israéliens de faire de même».
Il a aussi mis en garde contre «l'escalade qui n'aidera pas le Liban à se reconstruire et à progresser à ce moment important de son histoire», faisant référence à la montée des violences des derniers jours entre le Hezbollah et Israël.
«Les États-Unis estiment que la solution ne doit être que diplomatique et que les Libanais et les Israéliens méritent de vivre en paix», a-t-il par ailleurs défendu, indiquant «qu’un arrêt temporaire des hostilités n’est pas suffisant».
Interrogé sur une éventuelle trêve du conflit à Gaza discutée et négociée ces derniers jours pour le mois de Ramadan, M. Hochstein a souligné que son pays «œuvre pour un cessez-le-feu à Gaza, pour la libération des prisonniers et pour que la trêve à Gaza s'étende également au Liban-Sud». Ce qui selon lui ne semble pas encore acquis.
À 5h, il rencontrera l'ancien chef du Parti socialiste progressiste Walid Joumblatt.
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