Il devient de plus en plus difficile au bloc parlementaire de la Modération nationale, composé notamment d’anciens haririens, de faire passer son initiative grâce à laquelle il espère pouvoir débloquer la présidentielle.
Les Kataëb l’ont pratiquement rejetée. Les Forces libanaises, pour qui «le diable réside dans les détails», sont sceptiques quant à sa finalité. Et le Hezbollah vient de réclamer un temps de réflexion pour l’examiner.
L’initiative en question consiste à tenir, Place de l’Étoile, des concertations parlementaires autour de la présidentielle, suite auxquelles les députés réclameront la tenue d’une session électorale, avec des tours successifs, jusqu’à ce qu’un président soit élu.
Une délégation de la Modération nationale s’est entretenue lundi à ce sujet avec le chef du bloc parlementaire du Hezbollah, Mohammad Raad, en présence du député Amine Cherri.
Si M. Raad s’est félicité du principe de l’initiative, il s’est abstenu de la commenter, posant plusieurs questions à ses collègues, au sujet notamment du mécanisme des concertations prévues. Il s’est aussi interrogé sur le point de savoir qui va les présider ou les modérer, avant d’annoncer à ses hôtes que son bloc compte y réfléchir avant de leur communiquer une réponse définitive.
Entre-temps, il a plaidé à plusieurs reprises sur l’importance d’une entente, seule susceptible, selon lui, de débloquer la présidentielle.
Les Kataëb l’ont pratiquement rejetée. Les Forces libanaises, pour qui «le diable réside dans les détails», sont sceptiques quant à sa finalité. Et le Hezbollah vient de réclamer un temps de réflexion pour l’examiner.
L’initiative en question consiste à tenir, Place de l’Étoile, des concertations parlementaires autour de la présidentielle, suite auxquelles les députés réclameront la tenue d’une session électorale, avec des tours successifs, jusqu’à ce qu’un président soit élu.
Une délégation de la Modération nationale s’est entretenue lundi à ce sujet avec le chef du bloc parlementaire du Hezbollah, Mohammad Raad, en présence du député Amine Cherri.
Si M. Raad s’est félicité du principe de l’initiative, il s’est abstenu de la commenter, posant plusieurs questions à ses collègues, au sujet notamment du mécanisme des concertations prévues. Il s’est aussi interrogé sur le point de savoir qui va les présider ou les modérer, avant d’annoncer à ses hôtes que son bloc compte y réfléchir avant de leur communiquer une réponse définitive.
Entre-temps, il a plaidé à plusieurs reprises sur l’importance d’une entente, seule susceptible, selon lui, de débloquer la présidentielle.
Lire aussi
Commentaires