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- La Turquie arrête sept personnes accusées d'espionnage par le Mossad
©(AFP)
Sept nouvelles personnes soupçonnées d'espionnage au profit d'Israël ont été arrêtées en Turquie, deux mois après un important coup de filet, a annoncé mardi l'agence de presse officielle turque Anadolu.
Les suspects, parmi lesquels figurent un détective privé et des fonctionnaires, sont accusés d'avoir fourni contre rémunération des informations sur des «citoyens et entreprises du Moyen-Orient» installés en Turquie, affirme Anadolu, citant des sources de sécurité.
34 personnes soupçonnées notamment d'aider les services de renseignements israélien à préparer des enlèvements sur le sol turc avaient déjà été arrêtées début janvier à travers la Turquie.
Le bureau du procureur d'Istanbul avait déclaré que 12 autres suspects, accusés des mêmes faits, restaient recherchés.
Une source sécuritaire avait indiqué à l'AFP que les suspects, pour la plupart de nationalité étrangère, avaient été recrutés dans le cadre d'«opérations visant des Palestiniens et leurs familles».
«Ce n'est que le début... Vous allez apprendre à bien connaître la Turquie», avait lancé quelques jours plus tard le président turc Recep Tayyip Erdogan à l'adresse d'Israël.
Depuis le début du conflit entre Israël et le Hamas début octobre, le président turc, allié traditionnel de la cause palestinienne, a multiplié les invectives à l'égard d'Israël.
Avec AFP
Les suspects, parmi lesquels figurent un détective privé et des fonctionnaires, sont accusés d'avoir fourni contre rémunération des informations sur des «citoyens et entreprises du Moyen-Orient» installés en Turquie, affirme Anadolu, citant des sources de sécurité.
34 personnes soupçonnées notamment d'aider les services de renseignements israélien à préparer des enlèvements sur le sol turc avaient déjà été arrêtées début janvier à travers la Turquie.
Le bureau du procureur d'Istanbul avait déclaré que 12 autres suspects, accusés des mêmes faits, restaient recherchés.
Une source sécuritaire avait indiqué à l'AFP que les suspects, pour la plupart de nationalité étrangère, avaient été recrutés dans le cadre d'«opérations visant des Palestiniens et leurs familles».
«Ce n'est que le début... Vous allez apprendre à bien connaître la Turquie», avait lancé quelques jours plus tard le président turc Recep Tayyip Erdogan à l'adresse d'Israël.
Depuis le début du conflit entre Israël et le Hamas début octobre, le président turc, allié traditionnel de la cause palestinienne, a multiplié les invectives à l'égard d'Israël.
Avec AFP
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