Le Hezbollah n’a toujours pas communiqué sa réponse au bloc parlementaire de la Modération nationale dont une délégation doit se rendre samedi, dans l’après-midi, auprès du chef du Parlement, Nabih Berry. Le but de cette rencontre est de l'informer des résultats de sa tournée des derniers jours auprès des différents bords politiques, afin de leur présenter son initiative pour un déblocage de la présidentielle.
Jusqu’à vendredi soir, «le Hezbollah n’avait toujours pas donné sa réponse aux députés de la Modération», selon l’agence Markazia qui cite des sources du bloc. «Nous ne savons toujours pas si le Hezb répondra favorablement à l’initiative ou s’il la rejettera», ajoute-t-on de même source.
L’initiative en question consiste à tenir, Place de l’Étoile, des concertations parlementaires autour de la présidentielle, suite auxquelles les députés réclameront la tenue d’une session électorale ouverte, avec des tours successifs, jusqu’à ce qu’un président soit élu. Une option à laquelle le président de la Chambre, Nabih Berry, mais aussi le Quintette (les États-Unis, la France, l'Arabie saoudite, l'Égypte et le Qatar) sont favorables.
Cette initiative a été notamment soumise aux Kataëb, aux Forces libanaises, aux députés du Renouveau, Michel Moawad, Achraf Rifi et Fouad Makhzoumi, à la Rencontre démocratique que préside le chef du PSP, Teymour Joumblatt, à la Coalition du changement, Waddah Sadek, Mark Daou et Michel Douaihy, puis aux parlementaires indépendants.
Le bloc avait aussi présenté sa proposition au patriarche maronite, Mgr Béchara Raï, et au vice-président du Conseil supérieur chiite, cheikh Ali el-Khatib.
Jusqu’à vendredi soir, «le Hezbollah n’avait toujours pas donné sa réponse aux députés de la Modération», selon l’agence Markazia qui cite des sources du bloc. «Nous ne savons toujours pas si le Hezb répondra favorablement à l’initiative ou s’il la rejettera», ajoute-t-on de même source.
L’initiative en question consiste à tenir, Place de l’Étoile, des concertations parlementaires autour de la présidentielle, suite auxquelles les députés réclameront la tenue d’une session électorale ouverte, avec des tours successifs, jusqu’à ce qu’un président soit élu. Une option à laquelle le président de la Chambre, Nabih Berry, mais aussi le Quintette (les États-Unis, la France, l'Arabie saoudite, l'Égypte et le Qatar) sont favorables.
Cette initiative a été notamment soumise aux Kataëb, aux Forces libanaises, aux députés du Renouveau, Michel Moawad, Achraf Rifi et Fouad Makhzoumi, à la Rencontre démocratique que préside le chef du PSP, Teymour Joumblatt, à la Coalition du changement, Waddah Sadek, Mark Daou et Michel Douaihy, puis aux parlementaires indépendants.
Le bloc avait aussi présenté sa proposition au patriarche maronite, Mgr Béchara Raï, et au vice-président du Conseil supérieur chiite, cheikh Ali el-Khatib.
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