Le Rassemblement des fonctionnaires a annoncé samedi la prorogation de la suspension temporaire de sa grève jusqu’au 15 mars.
Dans un communiqué, il a souligné qu’il reste attaché à ses revendications, notamment «l’élaboration d’une grille de salaires juste, qui prévoit un rajustement des allocations sociales, médicales et familiales et des indemnités de fin de service».
Le Rassemblement des fonctionnaires a précisé que les concertations se poursuivent avec les autorités concernées afin d’aboutir à la publication d’une décision dont les objectifs seront «de réactiver le rôle de l’administration publique» et de «préserver la dignité et les droits des fonctionnaires».
Pour rappel, les fonctionnaires de plusieurs ministères – Information, Agriculture, Télécoms, Tourisme, Travail et Économie – avaient entamé une grève à partir du 21 et 22 février pour protester contre ce qu’ils avaient qualifié de «comportement discriminatoire» de l’Exécutif à leur égard. Ils dénonçaient les avantages financiers octroyés par le gouvernement à certains fonctionnaires du ministère des Finances.
Au lendemain du réajustement de leurs salaires et pensions de retraite lors du Conseil des ministres du mercredi 28 février, ils avaient annoncé une suspension temporaire de leur grève jusqu’au 8 mars.
Dans un communiqué, il a souligné qu’il reste attaché à ses revendications, notamment «l’élaboration d’une grille de salaires juste, qui prévoit un rajustement des allocations sociales, médicales et familiales et des indemnités de fin de service».
Le Rassemblement des fonctionnaires a précisé que les concertations se poursuivent avec les autorités concernées afin d’aboutir à la publication d’une décision dont les objectifs seront «de réactiver le rôle de l’administration publique» et de «préserver la dignité et les droits des fonctionnaires».
Pour rappel, les fonctionnaires de plusieurs ministères – Information, Agriculture, Télécoms, Tourisme, Travail et Économie – avaient entamé une grève à partir du 21 et 22 février pour protester contre ce qu’ils avaient qualifié de «comportement discriminatoire» de l’Exécutif à leur égard. Ils dénonçaient les avantages financiers octroyés par le gouvernement à certains fonctionnaires du ministère des Finances.
Au lendemain du réajustement de leurs salaires et pensions de retraite lors du Conseil des ministres du mercredi 28 février, ils avaient annoncé une suspension temporaire de leur grève jusqu’au 8 mars.
Lire aussi
Commentaires