Le mufti de la République, cheikh Abdel Latif Derian, a mis en garde contre le fait que «le Liban est en danger, et que la première raison en est la vacance présidentielle». Il a souligné que «l'élection d'un président est le premier pas vers la construction de l'État et la bonne voie pour redresser le travail des institutions du gouvernement en déclin».
S’exprimant dimanche, à la veille du mois saint du Ramadan, qui doit en principe débuter lundi, le cheikh Derian a dénoncé «les violations des résolutions internationales par Israël qui tue nos enfants et détruit nos maisons». Exprimant sa désolation pour ce qu’endurent les habitants du Liban-Sud depuis le 8 octobre dernier, le leader sunnite a souligné: «Nous ne faisons pas de distinction entre une région et une autre, et les agressions qui se produisent dans le Sud sont des agressions contre le Liban dans son ensemble.» Et le mufti d’ajouter: «Pas de solution à la question palestinienne sans la création d’un État palestinien libre et indépendant, avec Jérusalem sainte pour capitale».
Le mufti de la République a conclu en affirmant qu’«indépendamment de nos divergences politiques, nous devons nous accorder et coopérer pour la stabilité et la continuité dans notre pays. La priorité absolue aujourd'hui est l’élection d’un chef de l’État et la préservation de notre unité, musulmans et chrétiens, conformément aux accords de Taëf».
S’exprimant dimanche, à la veille du mois saint du Ramadan, qui doit en principe débuter lundi, le cheikh Derian a dénoncé «les violations des résolutions internationales par Israël qui tue nos enfants et détruit nos maisons». Exprimant sa désolation pour ce qu’endurent les habitants du Liban-Sud depuis le 8 octobre dernier, le leader sunnite a souligné: «Nous ne faisons pas de distinction entre une région et une autre, et les agressions qui se produisent dans le Sud sont des agressions contre le Liban dans son ensemble.» Et le mufti d’ajouter: «Pas de solution à la question palestinienne sans la création d’un État palestinien libre et indépendant, avec Jérusalem sainte pour capitale».
Le mufti de la République a conclu en affirmant qu’«indépendamment de nos divergences politiques, nous devons nous accorder et coopérer pour la stabilité et la continuité dans notre pays. La priorité absolue aujourd'hui est l’élection d’un chef de l’État et la préservation de notre unité, musulmans et chrétiens, conformément aux accords de Taëf».
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