Le Rassemblement de Saydet el-Jabal a pointé du doigt, lundi, les autorités libanaises, les accusant «d’abandon flagrant de leur devoir premier», à savoir celui «de défendre la sécurité et les intérêts des Libanais» au détriment de leur soutien «total et public à la milice pro-iranienne du Hezbollah dans sa guerre déclarée et en cours dans le but de soutenir Gaza».
Pour le Rassemblement, qui s’exprimait à l’issue de sa réunion hebdomadaire, les actions du Hezbollah sont «une démonstration flagrante de loyauté envers les intérêts iraniens». Le Rassemblement estime que «ce sont d'abord le Liban et les Libanais qui paieront le prix de cette guerre, de leur sang et de leurs biens». Les participants à la réunion ont alors exhorté «les parlementaires de l'opposition à dépasser les simples objections verbales et à rechercher activement des solutions à l'escalade du conflit» qui sévit depuis le 8 octobre à la frontière entre le Hezbollah et Israël.
Le Rassemblement a ainsi accusé les «chefs du Parlement et du Conseil des ministres d'avoir mis en danger le peuple libanais, en particulier les habitants du sud, en les exposant aux violences, aux destructions et aux déplacements». Ils déplorent, une fois de plus, le fait qu'ils aient confié «la décision de guerre et de paix» au Hezbollah.
Ils ont aussi appelé les responsables libanais «à s'engager à mettre en œuvre la Constitution et à exiger que le gouvernement complice assume pleinement ses responsabilités à l'égard de tous les Libanais». Comme à chacune de ses prises de parole, le Rassemblement a appelé les dirigeants à «s'engager auprès des organismes internationaux pour renforcer la mise en œuvre des résolutions internationales (1701, 1559, 1680) visant à sauvegarder l'autonomie du Liban».
Pour le Rassemblement, qui s’exprimait à l’issue de sa réunion hebdomadaire, les actions du Hezbollah sont «une démonstration flagrante de loyauté envers les intérêts iraniens». Le Rassemblement estime que «ce sont d'abord le Liban et les Libanais qui paieront le prix de cette guerre, de leur sang et de leurs biens». Les participants à la réunion ont alors exhorté «les parlementaires de l'opposition à dépasser les simples objections verbales et à rechercher activement des solutions à l'escalade du conflit» qui sévit depuis le 8 octobre à la frontière entre le Hezbollah et Israël.
Le Rassemblement a ainsi accusé les «chefs du Parlement et du Conseil des ministres d'avoir mis en danger le peuple libanais, en particulier les habitants du sud, en les exposant aux violences, aux destructions et aux déplacements». Ils déplorent, une fois de plus, le fait qu'ils aient confié «la décision de guerre et de paix» au Hezbollah.
Ils ont aussi appelé les responsables libanais «à s'engager à mettre en œuvre la Constitution et à exiger que le gouvernement complice assume pleinement ses responsabilités à l'égard de tous les Libanais». Comme à chacune de ses prises de parole, le Rassemblement a appelé les dirigeants à «s'engager auprès des organismes internationaux pour renforcer la mise en œuvre des résolutions internationales (1701, 1559, 1680) visant à sauvegarder l'autonomie du Liban».
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