©Crédit photo: Giuseppe Follacchio - Orbita Spellbound
À une époque où le dialogue entre les cultures et les traditions se révèle plus essentiel que jamais, Omar Rajeh et Maqamat prennent possession de la scène pour tisser un récit qui transcende les barrières géographiques et linguistiques à travers le langage universel de la danse.
Avec des performances qui s’étendent sur plusieurs continents, Omar Rajeh et Maqamat proposent une exploration riche de la condition humaine, exprimée à travers les mouvements éloquents du corps. Au cœur de leur démarche artistique se trouve une profonde interrogation sur l’identité, l’appartenance et le pouvoir de l’art à favoriser la connexion et la compréhension.
Crédit photo: Paul Bourdrel
Beytna (notre maison), réunit quatre chorégraphes et quatre musiciens originaires du Liban, du Japon, de Palestine, de Belgique et du Togo, unis sur scène autour d’un banquet. Issus de continents, de cultures et de pays différents, en plus d’être dotés d’expériences artistiques diverses, de parcours et d’idées variés, ils trouvent un terrain d’entente dans leur profession. Ils échangent, partagent des rires, dansent et se restaurent ensemble. La simplicité de cette rencontre pose les bases d’une structure de performance chorégraphique et conceptuelle plus complexe. Cette représentation encourage le spectateur à découvrir l’intimité de l’autre, célébrant la santé, le bonheur, le plaisir, la compassion et l’amitié. C’est une invitation tant à la profession d’artiste et à la construction chorégraphique qu’aux formes et situations du passé. Beytna se lance dans une nouvelle aventure sur un nouveau continent, avec des représentations ayant débuté vendredi dans le cadre du programme de WOMADelaide, le festival mondial à Adélaïde, en Australie. Cette performance, créée initialement au Tanzquartier Wien en 2016, continue de favoriser un rassemblement significatif axé sur le partage, la diversité et la participation. Après ces quatre représentations en Australie, la tournée devrait se poursuivre en France, en Italie, aux Émirats arabes unis et en Belgique, avec des dates à annoncer prochainement.
Crédit photo: Myriam Boulous pour Sara Saifi
Dance is not for us est une création solo chorégraphiée et interprétée par Omar Rajeh, invitant le public dans son univers de danse et autobiographique. Rajeh examine la «performance» comme un rassemblement et une expérience partagée, où le corps dansant établit ses propres règles, sa structure et ses inspirations, comme un acte d’espoir. Cela se pose en opposition aux structures de pouvoir qui poussent vers la normalité et la peur. Seul en scène, il navigue à travers un passé intime qui n’existe plus, luttant avec des images qui s’estompent et trompent. Il est confronté à un monde apparemment dépourvu de son passé, où les récits d’aujourd’hui sont en contradiction avec les souvenirs d’hier.
À travers cette performance solo, Rajeh plonge dans son univers de danse et autobiographique, envisageant la «performance» comme un catalyseur de rassemblement et d’expérience partagée. La tournée devrait se poursuivre aux Pays-Bas, en Italie, en Albanie, en Slovénie, en Bosnie-Herzégovine et en Islande, avec des dates à annoncer.
Pour le 20e anniversaire de BIPOD, plus de 40 artistes et professionnels de la danse se rassembleront à Beyrouth pour commémorer avec le public les deux décennies de BIPOD. Cette étape marquante sera célébrée par une approche novatrice offrant un format immersif et participatif. Les festivités incluront des performances de danse par des chorégraphes internationaux et libanais dans des espaces non conventionnels, des rencontres et échanges internationaux, des concerts et jams de danse, des créations numériques interactives et des diffusions en direct, un programme de films de danse vidéo, des ateliers, des présentations de nouveaux projets, la mise en avant de jeunes talents émergents, un programme pour enfants, des ateliers Bouger ensemble, ainsi que des soirées expérimentales de dabké et de tango.
Les billets seront bientôt disponibles via Antoine Ticketing.
Avec des performances qui s’étendent sur plusieurs continents, Omar Rajeh et Maqamat proposent une exploration riche de la condition humaine, exprimée à travers les mouvements éloquents du corps. Au cœur de leur démarche artistique se trouve une profonde interrogation sur l’identité, l’appartenance et le pouvoir de l’art à favoriser la connexion et la compréhension.
Crédit photo: Paul BourdrelBeytna (notre maison), réunit quatre chorégraphes et quatre musiciens originaires du Liban, du Japon, de Palestine, de Belgique et du Togo, unis sur scène autour d’un banquet. Issus de continents, de cultures et de pays différents, en plus d’être dotés d’expériences artistiques diverses, de parcours et d’idées variés, ils trouvent un terrain d’entente dans leur profession. Ils échangent, partagent des rires, dansent et se restaurent ensemble. La simplicité de cette rencontre pose les bases d’une structure de performance chorégraphique et conceptuelle plus complexe. Cette représentation encourage le spectateur à découvrir l’intimité de l’autre, célébrant la santé, le bonheur, le plaisir, la compassion et l’amitié. C’est une invitation tant à la profession d’artiste et à la construction chorégraphique qu’aux formes et situations du passé. Beytna se lance dans une nouvelle aventure sur un nouveau continent, avec des représentations ayant débuté vendredi dans le cadre du programme de WOMADelaide, le festival mondial à Adélaïde, en Australie. Cette performance, créée initialement au Tanzquartier Wien en 2016, continue de favoriser un rassemblement significatif axé sur le partage, la diversité et la participation. Après ces quatre représentations en Australie, la tournée devrait se poursuivre en France, en Italie, aux Émirats arabes unis et en Belgique, avec des dates à annoncer prochainement.
Crédit photo: Myriam Boulous pour Sara SaifiDance is not for us est une création solo chorégraphiée et interprétée par Omar Rajeh, invitant le public dans son univers de danse et autobiographique. Rajeh examine la «performance» comme un rassemblement et une expérience partagée, où le corps dansant établit ses propres règles, sa structure et ses inspirations, comme un acte d’espoir. Cela se pose en opposition aux structures de pouvoir qui poussent vers la normalité et la peur. Seul en scène, il navigue à travers un passé intime qui n’existe plus, luttant avec des images qui s’estompent et trompent. Il est confronté à un monde apparemment dépourvu de son passé, où les récits d’aujourd’hui sont en contradiction avec les souvenirs d’hier.
À travers cette performance solo, Rajeh plonge dans son univers de danse et autobiographique, envisageant la «performance» comme un catalyseur de rassemblement et d’expérience partagée. La tournée devrait se poursuivre aux Pays-Bas, en Italie, en Albanie, en Slovénie, en Bosnie-Herzégovine et en Islande, avec des dates à annoncer.
Pour le 20e anniversaire de BIPOD, plus de 40 artistes et professionnels de la danse se rassembleront à Beyrouth pour commémorer avec le public les deux décennies de BIPOD. Cette étape marquante sera célébrée par une approche novatrice offrant un format immersif et participatif. Les festivités incluront des performances de danse par des chorégraphes internationaux et libanais dans des espaces non conventionnels, des rencontres et échanges internationaux, des concerts et jams de danse, des créations numériques interactives et des diffusions en direct, un programme de films de danse vidéo, des ateliers, des présentations de nouveaux projets, la mise en avant de jeunes talents émergents, un programme pour enfants, des ateliers Bouger ensemble, ainsi que des soirées expérimentales de dabké et de tango.
Les billets seront bientôt disponibles via Antoine Ticketing.
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