Une procession symbolique s’est tenue, samedi, à Moukhtara, pour la 47e commémoration de l’assassinat de Kamal Joumblatt, fondateur du Parti socialiste progressiste (PSP).
En hommage au «maître», une foule s’est rassemblée dans la ville du Chouf pour déposer des roses sur sa tombe.
Dans ce cadre, le petit-fils de Kamal Joumblatt et actuel chef du PSP, Teymour Joumblatt, a souligné que cette commémoration constitue «le symbole d’un héritage de la lutte, toujours renouvelé, incarnant les questions nationales et arabes auxquelles Kamal Joumblatt croyait et pour lesquelles il est mort». Teymour Joumblatt a également réitéré "son attachement à la pensée nationale, philosophique, littéraire et réformatrice» du fondateur du PSP, ainsi qu'au «programme de transition qu'il a proposé, afin qu'il serve de passerelle pour la construction d'un pays où règnent les valeurs de justice, d'égalité et de démocratie».
De son côté, l’ancien chef du PSP, Walid Joumblatt, a ravivé la mémoire de son père en publiant sur son compte X une chanson de Marcel Khalifeh, intitulée «Les souvenirs».
Par ailleurs, plusieurs personnalités politiques lui ont rendu hommage sur la plateforme X.
Le député de la Rencontre démocratique, Bilal Abdallah, a réitéré «l’engagement en faveur du socialisme humain, des valeurs de justice sociale, de liberté et de développement», portant «l'idéologie de Kamal Joumblatt comme une identité». Il a également affirmé la nécessité de «briser les idoles du confessionnalisme», plaidant pour «une transition vers un État laïque».
Pour sa part, le député Akram Chehayeb (PSP) a avancé que «par son martyre, Kamal Joumblatt a brisé la grande prison arabe» et qu’il «est allé jusqu'au bout de ses convictions, enrichissant la pensée, l'administration et la lutte populaire».
Quant à Achraf Rifi, député de Tripoli, il a rappelé que Kamal Joumblatt «est un symbole de droiture et de dignité, un modèle de savoir, de culture et de vision». «Le régime Assad a assassiné une figure libanaise et arabe qui ne reconnaissait pas la soumission à la tutelle et à la tyrannie», a-t-il ajouté.
En hommage au «maître», une foule s’est rassemblée dans la ville du Chouf pour déposer des roses sur sa tombe.
Dans ce cadre, le petit-fils de Kamal Joumblatt et actuel chef du PSP, Teymour Joumblatt, a souligné que cette commémoration constitue «le symbole d’un héritage de la lutte, toujours renouvelé, incarnant les questions nationales et arabes auxquelles Kamal Joumblatt croyait et pour lesquelles il est mort». Teymour Joumblatt a également réitéré "son attachement à la pensée nationale, philosophique, littéraire et réformatrice» du fondateur du PSP, ainsi qu'au «programme de transition qu'il a proposé, afin qu'il serve de passerelle pour la construction d'un pays où règnent les valeurs de justice, d'égalité et de démocratie».
De son côté, l’ancien chef du PSP, Walid Joumblatt, a ravivé la mémoire de son père en publiant sur son compte X une chanson de Marcel Khalifeh, intitulée «Les souvenirs».
Par ailleurs, plusieurs personnalités politiques lui ont rendu hommage sur la plateforme X.
Le député de la Rencontre démocratique, Bilal Abdallah, a réitéré «l’engagement en faveur du socialisme humain, des valeurs de justice sociale, de liberté et de développement», portant «l'idéologie de Kamal Joumblatt comme une identité». Il a également affirmé la nécessité de «briser les idoles du confessionnalisme», plaidant pour «une transition vers un État laïque».
Pour sa part, le député Akram Chehayeb (PSP) a avancé que «par son martyre, Kamal Joumblatt a brisé la grande prison arabe» et qu’il «est allé jusqu'au bout de ses convictions, enrichissant la pensée, l'administration et la lutte populaire».
Quant à Achraf Rifi, député de Tripoli, il a rappelé que Kamal Joumblatt «est un symbole de droiture et de dignité, un modèle de savoir, de culture et de vision». «Le régime Assad a assassiné une figure libanaise et arabe qui ne reconnaissait pas la soumission à la tutelle et à la tyrannie», a-t-il ajouté.
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