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Le ministère des Affaires étrangères a appelé la communauté internationale à «intensifier ses efforts pour soutenir l’Unrwa», afin de «lui permettre de poursuivre ses missions humanitaires auprès des réfugiés palestiniens au Liban et dans les pays voisins».
L’agence onusienne est au centre d’une controverse, depuis que, fin janvier, l’État hébreu a accusé douze de ses employés d’être impliqués dans l’attaque du 7 octobre, perpétrée par le mouvement palestinien Hamas contre Israël. À la suite de ces accusations, une quinzaine de pays, au nombre desquels les États-Unis, la Grande-Bretagne, l’Allemagne et le Japon, ont suspendu, fin janvier, leur financement de l’Unrwa. Récemment, l’Australie, le Canada et la Suède ont annoncé la reprise de leur financement à l’agence.
Dans un communiqué, le ministère des Affaires étrangères a affirmé qu’il «n’existe aucune alternative» à l’Unrwa, qui a vu le jour en 1948, avec la création de l’État hébreu et l’échec de la solution à deux États. Il a, dans ce contexte, souligné que le rôle de cette agence «se terminera, une fois que cette solution sera mise en œuvre et qu’un État palestinien sera édifié».
Soulignant que l’Unrwa «est l’agence la plus qualifiée pour venir en aide aux Palestiniens résidents au Liban», le ministère des Affaires étrangères a salué les pays donateurs qui ont décidé de «reprendre, voire d’intensifier, leurs aides à l’Unrwa». Il a appelé les autres nations à rejoindre le rang des pays donateurs, «puisque ces aides donnent de l’espoir aux Palestiniens et rétablissent la confiance dans les capacités de cette agence à venir en aide au peuple palestinien qui a urgemment besoin des produits de première nécessité».
L’agence onusienne est au centre d’une controverse, depuis que, fin janvier, l’État hébreu a accusé douze de ses employés d’être impliqués dans l’attaque du 7 octobre, perpétrée par le mouvement palestinien Hamas contre Israël. À la suite de ces accusations, une quinzaine de pays, au nombre desquels les États-Unis, la Grande-Bretagne, l’Allemagne et le Japon, ont suspendu, fin janvier, leur financement de l’Unrwa. Récemment, l’Australie, le Canada et la Suède ont annoncé la reprise de leur financement à l’agence.
Dans un communiqué, le ministère des Affaires étrangères a affirmé qu’il «n’existe aucune alternative» à l’Unrwa, qui a vu le jour en 1948, avec la création de l’État hébreu et l’échec de la solution à deux États. Il a, dans ce contexte, souligné que le rôle de cette agence «se terminera, une fois que cette solution sera mise en œuvre et qu’un État palestinien sera édifié».
Soulignant que l’Unrwa «est l’agence la plus qualifiée pour venir en aide aux Palestiniens résidents au Liban», le ministère des Affaires étrangères a salué les pays donateurs qui ont décidé de «reprendre, voire d’intensifier, leurs aides à l’Unrwa». Il a appelé les autres nations à rejoindre le rang des pays donateurs, «puisque ces aides donnent de l’espoir aux Palestiniens et rétablissent la confiance dans les capacités de cette agence à venir en aide au peuple palestinien qui a urgemment besoin des produits de première nécessité».
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