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- Le journaliste d'Al Jazeera arrêté par Israël, a été relâché
La chaîne de télévision Al-Jazeera indique que l'armée israélienne a libéré Ismail Alghoul un correspondant indépendant qui avait été arrêté lors du raid sur l'hôpital al-Chifa de la ville de Gaza.
Le correspondant Ismail Alghoul a été arrêté avec d'autres journalistes tôt dans la journée alors qu'il couvrait le raid sur l'hôpital, a déclaré la chaîne. Les troupes israéliennes l'ont battu et ont détruit le véhicule de diffusion de la chaîne ainsi que des caméras et du matériel.
Plus tard, la chaîne qatarie a annoncé que M. Alghoul avait été libéré. Elle l'a cité en disant que lui et d'autres journalistes ont été menottés, ont eu les yeux bandés et ont été déshabillés pendant 12 heures.
L'armée israélienne n'a pas fait de commentaire dans l'immédiat.
Une source au sein d'Al Jazeera a indiqué, sous couvert d'anonymat, que cinq autres personnes avaient été également arrêtées, notamment le caméraman d'Alghoul, et qu'un char israélien avait détruit leur véhicule.
L'armée israélienne a lancé lundi une opération sur le complexe hospitalier d'al-Chifa, le plus grand de la bande de Gaza, utilisé, selon elle, par « des terroristes hauts gradés » du Hamas.
Des milliers de civils fuyant les combats ont trouvé refuge dans cet hôpital. L'armée a appelé la population civile à évacuer l'établissement.
En février, Al Jazeera a accusé Israël de cibler systématiquement ses employés travaillant à Gaza.
Selon le Comité de protection des journalistes (CPJ), une association basée à New York, au moins 95 journalistes ont été tués depuis le début de la guerre le 7 octobre entre Israël et le Hamas, dont 90 sont des Palestiniens.
Deux journalistes d'Al Jazeera ont été tués dans la bande de Gaza depuis le 7 octobre, tandis que le chef du bureau de la chaîne à Gaza a été blessé.
Avec AFP
Le correspondant Ismail Alghoul a été arrêté avec d'autres journalistes tôt dans la journée alors qu'il couvrait le raid sur l'hôpital, a déclaré la chaîne. Les troupes israéliennes l'ont battu et ont détruit le véhicule de diffusion de la chaîne ainsi que des caméras et du matériel.
Plus tard, la chaîne qatarie a annoncé que M. Alghoul avait été libéré. Elle l'a cité en disant que lui et d'autres journalistes ont été menottés, ont eu les yeux bandés et ont été déshabillés pendant 12 heures.
L'armée israélienne n'a pas fait de commentaire dans l'immédiat.
Une source au sein d'Al Jazeera a indiqué, sous couvert d'anonymat, que cinq autres personnes avaient été également arrêtées, notamment le caméraman d'Alghoul, et qu'un char israélien avait détruit leur véhicule.
L'armée israélienne a lancé lundi une opération sur le complexe hospitalier d'al-Chifa, le plus grand de la bande de Gaza, utilisé, selon elle, par « des terroristes hauts gradés » du Hamas.
Des milliers de civils fuyant les combats ont trouvé refuge dans cet hôpital. L'armée a appelé la population civile à évacuer l'établissement.
En février, Al Jazeera a accusé Israël de cibler systématiquement ses employés travaillant à Gaza.
Selon le Comité de protection des journalistes (CPJ), une association basée à New York, au moins 95 journalistes ont été tués depuis le début de la guerre le 7 octobre entre Israël et le Hamas, dont 90 sont des Palestiniens.
Deux journalistes d'Al Jazeera ont été tués dans la bande de Gaza depuis le 7 octobre, tandis que le chef du bureau de la chaîne à Gaza a été blessé.
Avec AFP
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