Le député Nadim Gemayel a ouvertement critiqué, jeudi, la soumission «de l’État, avec tous ses services militaires et civils, au contrôle du Hezbollah et de ses armes».
Ces propos interviennent à la suite de sa décision, le 2 mars 2024, de retirer sa demande de renouvellement de quinze permis de port d’armes, destinés aux escortes et gardes chargés de sa protection, le ministère de la Défense n’ayant pas donné suite à ces formalités.
M. Gemayel a expliqué, dans un communiqué, que sa demande, présentée le 1er février 2024 n’a pas été traitée, même «à la suite de plusieurs démarches menées auprès des autorités compétentes du cabinet du ministre de la Défense».
«Il semble que les responsables soient occupés à fournir des permis, des armes, des missiles et des munitions aux milices, sans rien leur refuser», a-t-il fustigé.
Dans ce cadre, il a affirmé que ses compagnons et lui continueront «à porter et à utiliser des armes sans permis», estimant qu’il ne «suppliera» personne pour assurer sa protection.
«Nous ne cèderons pas et nous résisterons afin de préserver notre sécurité, notre liberté et notre dignité», a-t-il conclu.
Ces propos interviennent à la suite de sa décision, le 2 mars 2024, de retirer sa demande de renouvellement de quinze permis de port d’armes, destinés aux escortes et gardes chargés de sa protection, le ministère de la Défense n’ayant pas donné suite à ces formalités.
M. Gemayel a expliqué, dans un communiqué, que sa demande, présentée le 1er février 2024 n’a pas été traitée, même «à la suite de plusieurs démarches menées auprès des autorités compétentes du cabinet du ministre de la Défense».
«Il semble que les responsables soient occupés à fournir des permis, des armes, des missiles et des munitions aux milices, sans rien leur refuser», a-t-il fustigé.
Dans ce cadre, il a affirmé que ses compagnons et lui continueront «à porter et à utiliser des armes sans permis», estimant qu’il ne «suppliera» personne pour assurer sa protection.
«Nous ne cèderons pas et nous résisterons afin de préserver notre sécurité, notre liberté et notre dignité», a-t-il conclu.
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