Le métropolite de Beyrouth, Élias Audi, a souligné, qu’«élire un président pour le pays n’est pas un besoin chrétien, mais national. Il est donc du devoir de tous les blocs parlementaires d’y participer (à son élection)».
Dans son homélie dominicale, l’archevêque grec-orthodoxe de Beyrouth, a rappelé que «la restructuration des autorités constitutionnelles et la construction des institutions sont la porte d’entrée nécessaire à toute opération de sauvetage». «Comment un navire peut-il atteindre un port sûr en l’absence d’un capitaine? Comment diriger un pays sans président?», s’est-il interrogé.
«Si tous les représentants sont convaincus de la nécessité de mener à bien le processus électoral, pourquoi ne vont-ils pas au Parlement et n’élisent-ils pas un président selon les dispositions de la Constitution sans conditions préalables?», s’est encore interrogé Mgr Audi. Il ajoute: «Nous n’avons pas besoin de nouvelles normes. Appliquez la Constitution et ne laissez personne altérer le sort du pays, en annulant son rôle et en sapant les fondements de sa démocratie.»
Dans cet ordre d’idée, Mgr Audi a souligné que «ce qu’il nous faut, ce ne sont pas des slogans, mais plutôt la volonté d’agir et la pureté des intentions». «Quiconque prétend que la Constitution est futile se trompe car le Liban a connu des périodes de prospérité et d’éclat sous des mandats de chefs d’État qui ont respecté la Constitution de leur pays et mis en œuvre ses dispositions», ajoute-t-il.
Dans son homélie dominicale, l’archevêque grec-orthodoxe de Beyrouth, a rappelé que «la restructuration des autorités constitutionnelles et la construction des institutions sont la porte d’entrée nécessaire à toute opération de sauvetage». «Comment un navire peut-il atteindre un port sûr en l’absence d’un capitaine? Comment diriger un pays sans président?», s’est-il interrogé.
«Si tous les représentants sont convaincus de la nécessité de mener à bien le processus électoral, pourquoi ne vont-ils pas au Parlement et n’élisent-ils pas un président selon les dispositions de la Constitution sans conditions préalables?», s’est encore interrogé Mgr Audi. Il ajoute: «Nous n’avons pas besoin de nouvelles normes. Appliquez la Constitution et ne laissez personne altérer le sort du pays, en annulant son rôle et en sapant les fondements de sa démocratie.»
Dans cet ordre d’idée, Mgr Audi a souligné que «ce qu’il nous faut, ce ne sont pas des slogans, mais plutôt la volonté d’agir et la pureté des intentions». «Quiconque prétend que la Constitution est futile se trompe car le Liban a connu des périodes de prospérité et d’éclat sous des mandats de chefs d’État qui ont respecté la Constitution de leur pays et mis en œuvre ses dispositions», ajoute-t-il.
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