©(AFP)
Des bombardements israéliens ont de nouveau frappé vendredi la bande de Gaza, territoire palestinien assiégé dont la population fait face à une «famine imminente», selon le Programme alimentaire mondial (PAM), près de six mois après le début de la guerre.
Le ministère de la Santé à Gaza a fait état en matinée de «dizaines de morts» lors de combats et de raids aériens notamment à Rafah (sud), ville considérée par Israël comme le dernier grand bastion du Hamas et où s'entassent 1,5 million de Palestiniens, en grande majorité des déplacés en raison des hostilités.
L'armée israélienne, qui accuse les combattants du Hamas de se cacher dans les hôpitaux, a dit vendredi poursuivre ses opérations dans le complexe hospitalier Al-Chifa, dans la ville de Gaza (nord), affirmant avoir «éliminé environ 200 terroristes» dans le secteur depuis le 18 mars.
Elle a souligné s'assurer de «prévenir toute atteinte aux civils, patients, équipes médicales et matériel».
Dans le centre de la bande de Gaza, l'armée israélienne a assuré avoir «détruit de nombreuses roquettes destinées à être tirées vers Israël», et éliminé des «terroristes».
Des opérations se poursuivent également à Khan Younès, dans le sud de la bande de Gaza, dans les secteurs d’Al-Amal et Al-Qarara, où des combattants palestiniens ont aussi été tués, toujours selon l'armée israélienne.
À Khan Younès, plusieurs blessés ont été transportés en ambulance à l’hôpital européen dans la nuit, selon des images de l’AFP. Certaines victimes, dont des enfants, étaient soignées à même le sol.
À Rafah, plus au sud, des dizaines d’hommes œuvraient à dégager des décombres d’un bâtiment bombardé des blessés et des corps, d’où a notamment été extrait un jeune garçon.
Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahou, a réaffirmé jeudi sa détermination à lancer une offensive terrestre à Rafah en dépit des pressions internationales, y compris celles des États-Unis.
«Nous tenons le nord de la bande de Gaza ainsi que Khan Younès (sud). Nous avons coupé en deux la bande de Gaza et nous nous préparons à entrer à Rafah», a-t-il dit.
Avec AFP
Le ministère de la Santé à Gaza a fait état en matinée de «dizaines de morts» lors de combats et de raids aériens notamment à Rafah (sud), ville considérée par Israël comme le dernier grand bastion du Hamas et où s'entassent 1,5 million de Palestiniens, en grande majorité des déplacés en raison des hostilités.
L'armée israélienne, qui accuse les combattants du Hamas de se cacher dans les hôpitaux, a dit vendredi poursuivre ses opérations dans le complexe hospitalier Al-Chifa, dans la ville de Gaza (nord), affirmant avoir «éliminé environ 200 terroristes» dans le secteur depuis le 18 mars.
Elle a souligné s'assurer de «prévenir toute atteinte aux civils, patients, équipes médicales et matériel».
Dans le centre de la bande de Gaza, l'armée israélienne a assuré avoir «détruit de nombreuses roquettes destinées à être tirées vers Israël», et éliminé des «terroristes».
Des opérations se poursuivent également à Khan Younès, dans le sud de la bande de Gaza, dans les secteurs d’Al-Amal et Al-Qarara, où des combattants palestiniens ont aussi été tués, toujours selon l'armée israélienne.
À Khan Younès, plusieurs blessés ont été transportés en ambulance à l’hôpital européen dans la nuit, selon des images de l’AFP. Certaines victimes, dont des enfants, étaient soignées à même le sol.
À Rafah, plus au sud, des dizaines d’hommes œuvraient à dégager des décombres d’un bâtiment bombardé des blessés et des corps, d’où a notamment été extrait un jeune garçon.
Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahou, a réaffirmé jeudi sa détermination à lancer une offensive terrestre à Rafah en dépit des pressions internationales, y compris celles des États-Unis.
«Nous tenons le nord de la bande de Gaza ainsi que Khan Younès (sud). Nous avons coupé en deux la bande de Gaza et nous nous préparons à entrer à Rafah», a-t-il dit.
Avec AFP
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